Review of Air France flight from Bogota to Paris in Business

Bonjour à tous,
Je vous présente aujourd’hui un vol entre Bogota et Paris.

Routing assez simple, je dois partir et revenir à Madrid et les dates/horaires sont assez contraints. Je souhaite un départ le samedi soir après 21h et un retour en partant le plus tard possible.

À l’aller, Iberia et Avianca proposent un vol avec un départ à minuit. C’est parfait. Je choisis Iberia en Premium. J’achèterai le vol en Avios. Dommage, la business était disponible et j’ai un peu tardé à réserver – il ne restait plus que de la Y et W. IB a beaucoup diminué la disponibilité de ses billets en Avios. Avant, on trouvait des places sur quasi tous les vols ; maintenant, c’est beaucoup plus rare. Par contre, le programme est excellent pour l’utilisation des Avios et il est en général très intéressant de n’utiliser que le minimum d’Avios possible.

Au retour, je suis un peu plus flexible. Je souhaite juste un départ de Bogota le plus tard possible. IB ne propose rien en W ou J. Par contre, AF a de la dispo avec un bon horaire – départ à 23h55 et 1h d’escale à CDG. Je réserve donc en J pour 85k miles – qui est le prix plancher depuis BOG. Quelques jours après, je vois par hasard que BOG fait partie des Primes Promo. Je réserve donc à nouveau pour 63 500 miles, et j’annule sans frais le précédent – avantage FB Platinum, qui est bien utile. Pas mal de dispo depuis BOG en promo, sur AF et KL.

Sur place, quelques vols intérieurs, vers Medellín (EOH), puis Carthagène, et un retour Santa Marta – Bogota. Les vols ont été achetés la veille de chacun, en fonction des horaires qui nous arrangeaient.

Le vol étant prévu à 23h55, je quitte mon hôtel vers 22h.

J’arrive à l’aéroport après 30 minutes de trajet.

Rapide passage aux comptoirs AF pour imprimer mon BP. Aucune attente. 

Puis direction la PAF où il n’y a aucune attente. 

Puis le PIF.

Je suis airside en 5 minutes.

Le salon utilisé par AF est juste en face du PIF. Il s’agit du salon Avianca. 

FIDS avec les départs. 

Il y a 2 salons ; pour AF, c’est le Diamond Lounge. 

Il est quasiment vide. 

L’offre proposée ne donne pas vraiment envie mais ça semble correcte. 

Je prendrais juste un coca. 

Vue du salon. 

Je rejoins la porte 30 minutes avant le départ. 

Notre A350-900 du jour. 

Embarquement rapide mais un peu d’attente dans la passerelle car il n’y en a qu’une de connectée. 

Fuselage.

Accueil cordial ; je rejoins le 6A.

Un verre d’accueil est proposé immédiatement, ainsi que la trousse de confort. 

L’embarquement se termine rapidement et la passerelle est retirée avec 5 minutes d’avance. 

Un oshibori est distribué.

Puis la passerelle se reconnecte 15 minutes plus tard. C'est plutôt mauvais signe…

Deux techniciens montent à bord, puis une annonce est faite pour indiquer qu’ils ont quelques vérifications à faire et que cela prendra une dizaine de minutes.

L’application AF s’actualise et m’annonce 20mn d’escale à Paris. 

On repousse finalement à 00h30. Le temps de vol annoncé, plutôt court avec 9h20 ce soir. Ça ne devrait donc pas poser de problème pour ma correspondance. 

Les consignes sont diffusées. 

Et on rejoint la piste. 

Le roulage est assez long. 

On s’aligne. 

Et on décolle à 00h50. 

On poursuit notre montée.

Le menu proposé ce soir. Il était possible de précommander un plat sur le site.

Le service débute rapidement : dix minutes plus tard.

Puis l'entrée est proposée.

Je n’ai pas goûté la partie gauche, seulement la droite, et cela n’avait pas grand intérêt. 

La salade n’est pas très engageante non plus.

L'entrée est débarrassée , puis le plat est servi. 
J'ai choisi le Filet de courbine, rôti sur peau, sauce aux agrumes : c'est correct mais globalement le catering ex BOG est assez moyen.

On termine avec le fromage et le dessert.

La plateau est retiré alors qu'on quitte les côtes vénézueliennes.

La cabine passe en mode nuit.

Je dormirais bien ; lorsque je me réveille, nous sommes à une heure de l'arrivée. 

Le service du petit déjeuner à débuté.

Je prendrai seulement un espresso et la salade de fruits.

Le plateau est retiré et un oshibori est proposé.

On survole Le Havre.

Puis Rouen.

Et son aéroport.

On approche de CDG.

Et on se pose à 16h05.

Un A320 se prépare à décoller.

Roulage rapide.

Et on se parque au 2K.

La douane arrive pour un contrôle à la sortie.

Et on peut débarquer à 16h15. 

Dernière vue de notre A350 du jour.