Review of SWISS flight from Athens to Geneva in Economy

Bonjour à tous, je vous propose ce mini routing vers Athènes avec des vols directs à l'aller et au retour.

Le voyage aller se fera en J avec Aegean, le vol retour en Y avec Swiss.

J'ai réservé le billet directement sur le site d'Aegean, le départ se faisant le jour de mon anniversaire, je me suis surclassé en participant à une enchère qui m'a été confirmé quelques jours avant le vol. Les heures de départ et de retour ont été déterminantes dans le choix de l'achat du billet…

Un couple d'amis me rejoint en Grèce, ils ne connaissent pas Athènes… Je me suis proposé de les guider le premier jour, la ville blanche à la particularité d'abriter des colonies de chats, nourris, abrités et choyés par les habitants, les félins ne sont pas farouches, ils ont fait connaissance avec Sylvestre, toujours en quête selon son père, de s'offrir un canari rôti ! De préférence celui cuisiné au Retsina, recette connue dans le monde entier. ^^

La balade du samedi après midi au Mont Lycabette où la plus belle vue à 360° sur Athènes est époustouflante, a beaucoup plus à mes deux complices du jour, suivie d'une promenade au crépuscule à la marina de Zéas, le port primitif du Pirée ou les nombreuses colonies de chats pullulent, la journée se termine dans le quartier incontournable de Plaka et ses rues animées, nous sommes hors saison et la zone piétonne est tranquille, un excellent diner clôture la journée. Si mon séjour se termine le lendemain, le Père de Sylvestre et Madame profiteront de la capitale grecque jusqu'au mardi suivant, vive la retraite ! Je laisse le soin à Michel d'ajouter un bonus à son prochain FR.

Le récit qui va suivre contient un peu moins de 100 photos, le spectacle du survol des Alpes a été le grand moment du vol.

Voici donc l'acte II, synonyme de retour au bercail…

En route vers l'aéroport Elefthérios Venizélos

Je quitte l'hôtel sur le coup des 11h30, la station de métro "Syndagma" est rejointe en moins de 5 minutes de marche, la pluie vient de cesser. J'ai pris un aller-retour lors de mon arrivée à ATH, il faut prévoir large pour se rendre à Spata en métro, avec une rame toute les demi heure, et 45 minutes de voyage. A bord, je trouve une place à côté d'une PNC d'Aegean en uniforme, qui révise… Le code la route !

45 minutes plus tard, la meute s'engouffre dans la passerelle reliant la gare à l'aéroport.

Un fort vent et le froid me pousse à ne pas m'éterniser dehors.

ATH landside

Je me dirige vers l' entrée la plus proche du terminal.

Le FIDS indique que l'enregistrement des vols du groupe LH se situe à gauche au fond du concourse, l'important étant de ne pas attraper la crève, ici au moins je suis au chaud.

Allez zou, direction le bout du bâtiment très fréquenté en ce tout début d'après-midi.

Je ne raconte pas de balivernes en disant que les comptoirs LH, OS, SN et LX sont logés au piquet !

Je ne risque pas de rater l'avion, la file prioritaire est vide ! L'agente très courtoise me remet la carte d'embarquement et me souhaite un bon voyage.

Demi tour et cheminement vers les portes d'embarquement, il existe un fast track, ce serait ballot de ne pas en profiter…

ATH airside

Aucune attente dans la priority lane, je me retrouve airside en deux temps, trois mouvements, évidemment on ne peux pas louper le duty free, ça tombe bien puisque je veux ramener une bouteille de Metaxa à la maison, cette boisson est une spécialité locale alcoolisée, inventé par Monsieur Metaxa ! Il s'agit d'un digestif semblable à du Cognac, on le déguste avec de la glace, nature ou en cocktail, perso. je l'apprécie aussi à l'apéritif… Il ne fait rien comme les autres le Chevelan.

 Deux salons s'offrent au SEN ( à vie), celui de LH ou le local, géré par Aegean, comme j'ai un bon souvenir de l'allemand j'opte pour lui ! Ne comptez pas sur moi pour faire du lounge hopping, une fois posé quelque part je n'en bouge plus…

Salon Lufthansa

Les deux hôtesses sont très accueillantes, elles me dirige d'emblée vers le coin réservé aux clients encartés SEN où Gold *A, la salle n'est pas très grande mais la décoration est cossue.

La partie Business est légèrement plus vaste, nonobstant le confort se montre en dessous de l'espace SEN. Les buffets se trouvent dans cette pièce. Par contre les deux lounges disposent chacun de leur bar. Plusieurs plats chauds sous cloches, dont la moussaka le plat national grec. Une armée d'employées oeuvrent en permanence dans le salon, je reste discret quant aux photos, chat mexicain échaudé craint l'eau froide grecque…

Quelques spécialités sont dressées sur ces tréteaux.

Les desserts sont bien représentés, ainsi que le fameux yaourt et plusieurs choix de sandwiches.

Le bar identique à celui situé dans le salon réservé aux "cartes dorées".

Mon choix assez fourni, je n'achèterai rien à bord…

Un fond de Metaxa grand cru accompagne un expresso.

En allant vers la salle d'embarquement

Je quitte le salon une dizaine de minutes avant l'embarquement théorique, les zones d'attentes sont élégamment aménagées.

Mon zozieau est présent au contact.

Mon vol part de la porte B13, j'espère que ça ne va pas me porter la poisse.

Patientons quelques minutes dans cette salle, puisque les derniers passagers quittent la passerelle.

L'embarquement

L'appel intervient avec un quart d'heure de retard, les PMR sont conduits à bord, suivis par les familles avec des enfants de moins de 5 ans, Arrive le tour des HON, puis celui de la zone 2, comprenant les Senators et les nantis de la classe avant. Il est à noter que l'agente annonçant les messages s'exprime dans un bon français, je ne sais pas si lors d'un embarquement concernant un vol El Al, l'employé(e) parle l'Hébreu ?

Le vol est affiché quasi complet, je caresse l'espoir d'entendre raisonner un bip salvateur lors du passage devant le scan, il n'en est rien ! Je me console avec l'instant porte et le fuselage shoot.

La vie ( serrée ) à bord

Chez Swiss l'accueil au seuil de porte est toujours aimable, c'est aussi le cas aujourd'hui, le Maître de Cabine est un antillais comparable à la stature de Teddy Riner, mieux vaut ne pas lui chercher des noises… Après avoir passé la cabine avant, Je me retrouve dans la seconde rangée après le rideau. Le couple devant moi aura la joie d'avoir Casper comme voisin, sur le siège central…

… Ma rangée, avant que les fauteuils D et E ne soient occupés par un couple slave dont je n'ai pu deviner la nationalité. Je constate que les attentions portés aux passagers SEN se perdent jour après jour, ici en l'occurrence, pas de salutations dédiées, quand au siège central neutralisé, ce n'est plus d'actualité…

La littérature de bord est placé dans son logement.

Le pas(decalais) s'avère convenable.

Le contenu de la pochette au complet.

Je ne détaillerai pas le très cher menu payant.

Voici le catalogue de l'Inflight Shopping.

Une fois n'est pas coutume, je scan le magazine LX, et bonne nouvelle ce dernier est rédigé en Allemand, en Français et en Anglais !

La fiche sécurité qui ne glisse pas dans mon sac, mon principal client possède déjà 39 exemplaires, concernant ce modèle d'avion de la compagnie Helvète…

Le sac vomito.

Le nec plus ultra des Airbus A220 LX : Le mini écran fixé au plafond.

Il pleut à l'extérieur, c'est sans surprise que je découvre un A320 d'A3 en attente de repousser.

Les annonces de sécurités sont émises via les mini IFE.

Le Commandant de bord annonce en Français et en Anglais un temps de vol de 2h30, et s'excuse du retard dû à un encombrement du ciel Suisse, nous repoussons avec 15' de bourre.

S'ensuit un taxi longeant le Terminal

Emirates à pour voisin à gauche, Turkish, mais aussi Aegean à droite.

Un A320 d'Air France nous précède, lui même suit un aéronef d'une compagnie cargo.

Nous entrons sur la piste 3 minutes après l'envol du coucou Code Barre.

C'est parti !

L'aérogare d'Athènes dans son ensemble.

La mer n'est pas loin !

Quelques turbulences sont ressenties pendant la montée initiale.

Puis plus rien au dessus des nuages.

La cabine se détend…

La maigre prestation

20 minutes après avoir quitté la terre ferme, une bouteille d'eau est distribué, le chocolat suivra peu de temps après, généralement on le propose juste avant le début de descente.

Le service payant aura un certain succès tout comme la vente d'articles issus du catalogue.

La nébulosité couvre le nord de la Grèce.

Région montagneuse avec ses sommets enneigés.

On aperçoit au fond le lac Techniti Limni Kremaston.

Puis le lac D'Ohrid

La ville d'Elbasan.

Tirana, la capitale de l'Albanie.

La côte Adriatique aux environs de Plazhi San Pietro

La traversée jusqu'au dessus de l'Italie n'est qu'une formalité, les nuages recouvrent la Botte.

Puisqu'il n'y a plus rien à voir à l'extérieur et avant le début de descente, j'en profite pour aller aux commodités, elles sont propres.

Vue de la cabine depuis le fond de l'appareil.

Festival de sommets enneigés

L'approche au dessus des Alpes est féérique.

Magique, superbe, magnifique…

L'on pourrait presque caresser de la main les sommets !

Epoustouflant !

Le lac Léman est en vue.

Le majestueux toit de l'Europe, on ne s'en lasse pas !

Après un large virage à 180° pour s'aligner sur la piste 22 de GVA, défilent Lausanne, Morges, Rolle, Gland, Nyon, Coppet…

Et les sommets de mon Jura d'adoption, moins spectaculaires que les Alpes.

En finale aux alentours de Versoix.

Nous y sommes presque !

Atterrissage en douceur, idem au niveau du freinage, hélas le retard n'a pas été comblé.

L'un des parkings de l'aviation d'affaires.

L'autre coin réservé aux jets privés, dont un Boeing 737.

Nous parquons près des cousins Austrian en partance pour Vienne, et Aegean à destination… D'Athènes, sous le regard imperturbable de Dame la Tour.

Le débarquement

La sortie de l'avion ne traine pas, La CDC et le CDB se sont joint pour saluer les passagers… Nous sommes loin du centre névralgique de l'aérogare, Ici les publicités ventant l'horlogerie de luxe est une évidence.

J'enclenche le turbo pour rejoindre la sortie.

Juste avant de passer de l'autre côté.

Il est possible de faire quelques emplettes avant de quitter la zone hors taxe.

Me concernant ce sera tout droit sans m'arrêter.

GVA landside

Beaucoup de monde dans les parages en ce dimanche après midi.

La gare CFF est moins fréquentée par delà l'accès aux quais.

Le beau temps c'est installé au dessus de l'Arena.

A gauche toute afin de régler la douloureuse.

Un tour d'ascenseur et je retrouve mon italienne qui m'attend au niveau -3.

Merci de m'avoir lu, à bientôt pour une prochaine et unique contribution concernant une compagnie, qui n'a été reportée qu'à une seule reprise sur Flight Report !