Après quelques jours sympathiques à visiter la capitale des Emirats Arabes Unis, il est temps de rentrer.
Pour ceux qui auraient raté l'aller, c'est par ici :
Flight routing
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Comme à l'aller, c'est sur un A350-900 d'Air France que nous volerons. Le vol étant prévu à 9h, le réveil est matinal. La journée débute cependant sous les meilleures augures, en constatant sur l'application Air France que je bénéficie d'un upgrade en business (le billet avait été réservé en W). J'ai bien fait de ne pas céder au chant des sirènes d'un upgrade à 300 € lors de l'OLCI.
Nous quittons le Sofitel Corniche vers 6h40, pour arriver à AUH vers 7h10. Il faut dire qu'à cette heure-ci nous n'avons pas été embêtés par les bouchons.

Contrairement à Jarvis, nous n'avons pas eu de problème pour régler le taxi (à l'inverse de la France, ceux-ci sont d'ailleurs moins chers que les Uber). Celui-ci nous demande même notre compagnie pour nous déposer juste devant la porte idoine.

A l'intérieur, c'est grand et lumineux. L'architecture est réussie



Le tableau des départs, que j'imaginais plus monopolisé par EY.

Voici les comptoirs Etihad justement. Peu de monde encore à cette heure-ci.

Bien que partenaire d'Etihad, Air France dispose de ses proches comptoirs d'enregistrement. Ceux-ci sont déserts. Nous y passons pour essayer de changer nos places.

Direction ensuite les contrôles de sûreté. Bien que l'affluence aux e-gates soit nulle, nous empruntons le fast-track. Les e-gates sont d'une redoutable efficacité. Je n'ai même pas besoin de scanner mon passeport, la reconnaissance faciale m'ouvrira les portes en quelques secondes.

Le fast-track dispose d'un PIF dédié, bien plus fluide que le PIF général. L'agent sur la gauche me lancera un no-photo, mais avec le sourire. Les structures qui soutiennent le bâtiment sont impressionnantes.

Le duty free n'aura pas raison de mon portefeuille, mais mon camarade de voyage se laissera tenter par quelques achats.

Nous voici donc airside. C'est grand, mais sans être aussi gigantesque qu'IST.

On y trouve de nombreuses boutiques, dont celle-ci qui propose des dattes de la maison Bateel (vendues 10 fois plus chères que les dattes qu'on trouve dans les épiceries d'Abu Dhabi).

Les grandes maisons de luxe ont également pignon sur rue.

J'aurais aimé profiter du salon Etihad, mais en dépit du partenariat avec la compagnie émirienne, AF envoie ses pax au Pearl Lounge. Nous attendons que l'agente ait fini de s'occuper de deux pax, mais elle nous indique que nous pouvons monter directement à l'étage, via les escalators situés à droite.

Arrivés en haut de l'escalator, nous sommes surpris par la file d'attente au comptoir.

Mais il s'agit en fait du comptoir de l'hôtel qui occupe également l'étage. C'est bien plus calme pour accéder au Pearl Lounge, et nous sommes reçu immédiatement par une agente souriante qui valide nos BP.

Le salon est divisé en deux parties bien distinctes : la première, située près de l'entrée, est accessible aux détenteurs de carte.

La seconde quant à elle est réservée aux passagers de classe avant et à statut. Un cerbère veille pour orienter les pax.

Bonne surprise, l'accès donne sur un salon totalement ouvert sur le terminal. C'est immense et de fait très aéré.


Ce ne sont pas les places qui manquent et nous avons l'embarras du choix pour nous installer.

Nous jetons notre dévolu sur ces banquettes.

Côté buffet, rien à dire : c'est largement garni, tant en solide qu'en liquide.


Le barman est d'ailleurs plutôt dynamique et vient spontanément nous proposer le menu.

Il est en effet possible de commander des plats minute : très alléchant, notamment les oeufs bénédicte, mais nous sommes un peu justes niveau timing et nous avons un petit déjeuner prévu en vol (même si pour le coup le catering du salon aurait sans doute été plus qualitatif).

Notons que les alcools sont déjà disponibles (mais pas en libre service).

Je me contente d'un café (fort joliment servi dans une belle tasse) et d'eau, le réveil n'est pas encore si lointain…

A noter que le salon offre le wifi, très simple de connexion.

Nous ne resterons qu'une vingtaine de minutes au salon, direction notre zone d'embarquement. Celle-ci est rejointe en quelques minutes.

Comme à Singapour, chaque porte dispose de sa zone dédiée, avec contrôle des BP (mais sans PIF) et file dédiée pour les passagers prioritaires.

Nous en profitons pour faire rééditer nos BP, car nous avons profité du wifi au salon pour changer nos sièges. N'étant pas sur le même PNR, AF nous avons placés à chaque bout de la cabine. Et de manière surprenante, la seatmap était disponible jusqu'au dernier moment.
Nous voilà donc en zone d'embarquement, et déjà l'on sent que le vol sera bien rempli. Je note pas mal de pax du sous-continent indien, je me dis que notre vol AF a dû récupérer les passagers d'un vol EY annulé, ce qui expliquerait ce surclassement alors que la veille la cabine W était pratiquement vide.


Par les grandes baies vitrées, on devine un bout de notre oiseau du jour.

La porte d'embarquement est déserte, hormis une Italienne emmitouflée dans sa doudoune qui veut absolument être la première à embarquer.

Une agente Etihad finit par arriver, mais ce n'est toujours pas le stress dans les files.

L'embarquement débute pratiquement à l'heure, dans le respect des priorités, et sans scan des BP.

Voici notre A350-900 et son masque.

Il est alimenté par deux passerelles, celle de gauche étant réservée aux passagers business.

Le jetbridge vitré permet de profiter de l'architecture très photogénique d'AUH.

Le fuselage shot obstrué par la passerelle Y.

Nous sommes accueillis en porte par la chef de cabine principale, qui se charge d'orienter les pax. Le premier contact est très agréable, et sera confirmé pendant le reste du vol.

Je découvre donc cette cabine business que je ne connaissais pas encore. Il s'agit d'une configuration en 34J, héritée de Joon.

La cabine business est équipée de 34 sièges Safran Optima, disposés en quinconce. Les sièges hublots des rangées paires sont proches du hublot et ceux des rangées impaires orientées sur l'allée. C'est l'un de ces sièges que j'ai obtenu et l'on verra que ce n'est pas l'idéal.

Siège hublot de rangée paire donc, avec pratiquement deux hublots.

Et mon siège, côté couloir. La finition présente bien.

Sauf que celui-ci ne dispose pratiquement pas de hublot. Mince alors !

Je me dis que le 7C est le plus mal loti, mais c'est pratiquement identique aux autres sièges des rangées impaires.

La vue du siège depuis l'arrière montre par ailleurs la place importante qu'occupe le siège de devant.

Ce n'est donc pas une configuration idéale, mais en l'occurrence, ayant dû initialement voyager en Premium, je ne vais pas me plaindre.
Je fais donc le tour du propriétaire. Couette et coussin sont déjà disposés sur le siège.

La bonne nouvelle, c'est le retour des pantoufles. Je les croyais réservées aux vols plus longs, mais non.

L'espace pour les jambes est forcément généreux, mais on voit bien ici que le siège est très orienté vers l'allée.

Le coffre de rangement contient le casque, ainsi qu'une bouteille d'eau.

Liseuse et commandes de sièges sont placées sur la cloison latérale.

Signe d'usure (qui aurait pu être réparé) : l'accoudoir s'affaisse, ce n'est pas très agréable à la longue.

Côté couloir l'accoudoir est rétractable et ajustable.

Le siège Joon a été relooké Air France, avec un bel accent rouge.

La tablette est située sous l'écran (ainsi que la prise USB).

Elle est de bonne taille, et son emplacement est très pratique, car il permet de se lever sans contorsion. Les PNC utiliseront également le bras de la tablette pour y disposer les verres.

Terminons par l'IFE, de bonne qualité, si l'on excepte les reflets et la publicité obligatoire au lancement (je me demande d'ailleurs si la pub est la même en Eco, parce qu'AWS me paraît tout de même très ciblé).

La télécommande, mais son rôle est accessoire car l'écran tactile n'est pas si éloigné du siège et il est plus simple de naviguer directement depuis celui-ci.

Ambiance générale dans la cabine, tout le monde s'est installé tranquillement. La cabine est presque pleine, il ne manque que les 2 GP (oups) qui viendront prendre les sièges 6E-6G.

Mathieu a pris le 7D, qui nous permet de discuter et partager les impressions de vol. Etonnamment, son siège me semble moins exposé que le mien sur l'allée.

Notre équipage est particulièrement enjoué, ce qui est rare sur un vol du matin au départ d'une escale, et le service débute rapidement avec la distribution des trousses de confort. Celle-ci a un peu changé par rapport à la précédente, mais la différence est ténue et bien que le format soit très pratique à réutiliser, un peu de renouvellement serait le bienvenu.

Sur le contenu, pas grand-chose à dire, il y a même le stylo.

Voici en suite le moment qui me manque particulièrement quand je voyage en W ou en Y : le verre de bienvenue.

Ce sera champagne bien sûr, l'avion étant le seul endroit au monde où cela n'exerce ni remords ni réprobation à une heure si matinale. Et à plus forte raison lorsqu'on est en bonne compagnie pour trinquer. Je note d'ailleurs que la plupart des passagers se laisseront tenter par les bulles.

Puis vient la distribution des menus. Ceux-ci ont été personnalisés avec la destination (il faudra juste rajouter le H ;-). Sur ce vol du matin, ce sera un service de petit-déjeuner suivi d'une collation, ce qui n'est pas l'idéal pour profiter d'un bon catering. Mais nous verrons cela le moment venu.

Le ballet des salutations platinesques est assurée par une cheffe de cabine enjouée, mais Mathieu et moi serons largement oubliés. Idem pour la prise de commande, nous ne sommes sollicités que bons derniers, mais notre choix était disponible. Qu'importe, nous savons nous faire humbles et savourons notre upgrade (le second seulement dans ma longue histoire avec AF).
A 9 h, les passerelles sont repoussées (vous noterez les contorsions nécessaires pour obtenir des vues par les hublots).

C'est le moment que choisissent les PNC pour distribuer un oshibori (bouillantissime !).

Nous repoussons dans la foulée. Mon bout de hublot me permet de shooter cet A320 d'Air Arabia qui va partir pour Katmandou.

J'enclenche l'IFE en mode géovision. Argh, ces reflets !

Bye bye AUH !

Le roulage est rapide et le décollage offre une belle vue sur la tour de contrôle.

Aux Emirats, le désert n'est jamais très loin…

Ce n'est vraiment pas de chance pour les hublots, surtout sur un vol de jour, d'autant plus que mon voisin de devant a décidé de se mettre en mode sans lumière naturelle.

Les commandes au-dessus des hublots permettent de les occulter, soit partiellement, soit totalement (ce qu'il finira par faire).

Tout ça pour regarder une série sur son téléphone…

Le voisin de derrière fera de même mais n'osera pas occulter "notre" hublot commun, qui me permet de garder une vue sur l'extérieur.

Je profite de l'extinction du signal lumineux pour me rendre aux toilettes. Sans surprise, on y retrouve une valeur sûre avec Clarins ;-).

A noter que le lavabo des toilettes avant était inopérant.

En cabine c'est tranquille, les rideaux du galley avant sont tirés pour la préparation du service.

Je profite de ce moment de calme pour me mettre dans l'ambiance de mon projet voyage (le teaser est cousu de fil blanc, je vous l'accorde).

La cabine se met alors à pavoiser les couleurs nationales. C'est plutôt kitsch, mais de bon aloi pour notre compagnie nationale.

Nous longeons la côte arabique et passons au large du port pétrolier de Dammam, en Arabie Saoudite.

Le service démarre une heure après le décollage. Voyons donc voir le menu. Bon, là comme ça, ça ne me fait pas rêver, mais c'est souvent le cas pour les petits déjeuners en vol.

La nappe est dressée et le plateau déposé. Les choix auront été pris préalablement. J'hésitais à prendre le plat de viande, pour tester la cave, mais il est encore un peu tôt pour cela et j'opte donc pour l'option sucrée, avec ces pancakes. Comme je l'indiquais plus haut, les PNC utilisent le bras de la tablette pour déposer les verres.

Je redispose le tout sans plateau, voilà qui est mieux. Les pancakes étaient bons mais un peu bourratifs. La viennoiserie, bien que chaude, n'était pas bonne.

Je demande un double expresso, qui m'est ramené du galley peu après.

Nous traversons alors l'Arabie Saoudite et les paysages désertiques sous nos pieds sont magnifiques. Ici la grande mer de sable du Nefoud. Je regrette de ne pas avoir une meilleure vue depuis le hublot, devant me contorsionner un peu pour y accéder.

Puis les dunes de sable se transforment en reliefs montagneux, préfigurant les monts de Madian, au nord-ouest de l'Arabie Saoudite.

La vue est un peu meilleure depuis le petit hublot de la porte 2L. On devine le golfe d'Aqabah à droite sur la seconde photo.


Puis nous survolons le Sinaï, dernière zone désertique avant la Méditerranée.


Mais la plupart des passagers sont plus intéressés par leurs écrans et pratiquement tous les hublots sont fermés.

En milieu de vol, les PNC passent distribuer quelques friandises, présentés dans une panière en osier. Celles-ci sont également disponible au galley.

Un bar a d'ailleurs été dressé au galley avant. L'occasion d'ailleurs de discuter avec l'équipage, particulièrement de bonne humeur et enclin à l'échange.

Au galley avant se trouve également le "bureau" de la CCP. Celui-ci fait tout de même un peu bricolé comparé à l'espace dédié dans les 777.

Nous continuons notre route. Changement d'ambiance avec la mer Egée et ici l'île de Naxos.

La cabine reste majoritairement plongée dans le noir.

Les PNC passent fréquemment s'assurer si les passagers ont besoin de quelque chose, j'en profite pour demander un thé.

Et goûter quelques truffes au chocolat, excellentes !

Un peu plus d'une heure avant l'arrivée, débute le service de la seconde prestation.

Dont voici le menu, sans choix possible.


Ce trio de canapé n'est pas mauvais, mais cela fait beaucoup de pain.

Je m'interroge sur le sens de cette sauce verdâtre.

Je préfère donc demander une vinaigrette pour accompagner la salade.

Au-delà de l'aspect gastronomique (limité avouons-le) de cette seconde prestation, c'est surtout l'occasion d'essayer la cave. Et sur ce point, Air France nous réserve deux surprises. La première, c'est que Paola Basso (dont j'ai l'impression d'avoir vu la trombine sur tous les vols AF que j'ai pris depuis bien longtemps) a cédé la place à un nouveau sommelier. Un peu de changement ne fait pas de mal.

La seconde surprise, c'est la présence de cet excellent Saint-Emilion grand cru 2016.

Là encore, le bras de la tablette fera office de repose-verre.

Nous voici désormais au-dessus de la campagne française après avoir traversé les Alpes.

Sur les conseils de mon camarade, je termine le vol avec une dégustation de Calvados hors d'âge.

Comme souvent sur AF, les doses sont servies très généreusement… Un expresso aidera à faire passer le tout ^^

Le vol se termine tranquillement. La CCP vient nous voir et nous indique qu'elle est désolée, que nous n'avions pas été tagués platinum sur sa tablette. Sans doute un bug dû à l'upgrade, mais nous la rassurons, cela n'a pas d'importance, d'autant que l'équipage a été charmant et disponible durant tout le vol. S'ensuit une discussion intéressante sur l'aérien, la compagnie, les voyages…
Le vol touche à sa fin et la cabine est préparée pour l'atterrissage. Dernière vue sur ce winglet très réussi aux couleurs de la compagnie.

Nous voici donc arrivés à CDG, accueillis au T2 par la grisaille parisienne.

Nous venons nous garer à côté d'un 787 d'Aeromexico (compagnie dont je n'ai pas entendu que du bien).

Nous débarquons par la porte avant, sous les salutations très cordiales de l'équipage. Direction la sortie !

Le cheminement me permettra d'avoir une belle vue sur "Lyon", notre A350 du jour.

Et même son reflet dans les vitres.

L'affichage vient à renseigner les nombreux passagers en correspondances.

Pour nous ce sera la sortie, direction le LISA.

C'est toujours un peu le stress en arrivant à CDG, on ne sait jamais à quelle sauce on va être mangé à la PAF…

Et aujourd'hui, à cette heure-ci (vers 14h30), c'est pratiquement désert. Ouf !

Bon, il y a tout de même un peu de monde et surtout très peu d'aubettes ouvertes et aucun parafe ouvert.

Nous avisons des agents ADP devant lesdits Parafe et leur demandons pourquoi ils ne sont pas ouverts. Et comme par miracle, les loupiotes passent du rouge au vert et nous pouvons passer.
Me voici donc airside 20 minutes seulement après avoir débarqué, ce n'est pas si mal pour CDG (même s'il a fallu un peu forcer les choses).
Direction le RER B pour rejoindre Paris.

Merci de m'avoir lu et maintenant place au bonus !
Bonus touristique
Un des incontournables d'Abu Dhabi reste la Grande Mosquée. Il faut dire qu'elle est vraiment imposante avec son habillage de marbre blanc.

Depuis mon dernier passage, les accès ont été modifiés : auparavant on pouvait y accéder directement, désormais il faut passer par un mall souterrain et marcher longuement. Il faut également s'enregistrer sur un créneau, avec QR code et tout ça. Un peu pénible.
Nous avons choisi de la visiter en toute fin de journée, ce qui permet de profiter des derniers rayons du soleil puis de l'éclairage nocturne.



Si l'extérieur est toujours aussi photogénique, j'avoue être bien moins fan de l'intérieur. Les décorations sont assez grossières et les lustres sont particulièrement kitsch.

Une visite intéressante à faire est celle du Qasr al Hosn, dans le centre d'Abu Dhabi : ce n'est rien moins que le premier bâtiment de la ville à avoir été construit. A l'origine, c'était le fort construit par le clan des Bani Yas pour contrôler l'endroit et tenir garnison. Les photos du début du 20e s. montrant l'endroit pratiquement désert sont saisissantes !
Le tout a été très bien restauré, et l'on y est pas dérangé par la foule.

Adjacent au fort, une extension a été construite par abriter la résidence de l'émir au début du 20e s.

On trouve une exposition intéressante sur l'histoire de l'émirat, qui a connu la richesse au 19e s. grâce à la pêche des perles, dont l'économie s'est effondrée au début du 20e s. suite au développement de la perle de culture. On saisit à quel point la vie des habitants, pauvres et vivant dans des conditions difficiles, a été métamorphosée de manière spectaculaire par la découverte du pétrole (Abu Dhabi abrite près de 10% des réserves mondiales).
Pour nos amis avgeeks, on ne peut que sourire en voyant le premier "aéroport" d'Abu Dhabi ^^

Le suivant traduit déjà l'expansion économique des émirats.

Une maison des artisans permet aussi de découvrir l'artisanat local (qui ne casse pas trois pattes à un canard, soyons franc) et de participer à une cérémonie de dégustation du café bédouin.

Juste à proximité du fort d'al-Hosn, se trouve une grande place. En cette saison celle-ci est écrasée de chaleur, mais l'endroit est plutôt agréable et offre un contraste avec les hautes tours environnantes.

Dans un bâtiment à l'architecture très réussie, se trouve le restaurant Erth, avec une étoile au Michelin.

Le cadre est absolument charmant et pour un prix très raisonnable, on y déguste une cuisine excellente et inventive. Vraiment à découvrir !

Très beau ce 350 quand même, supérieur aux 777 best version 2014. Dommage pour le hublot par contre.
J'ai l'impression que le pain au départ d'AUH n'est pas mieux qu'au départ de DXB. Ce catering de petit déjeuner n'est sans doute pas le meilleur mais l'horaire le veut ainsi.
Globalement, cela reste un excellent vol j'imagine.
Merci pour cette publication.
Merci pour le commentaire !
Le pain en avion est rarement bon, même en business et même au départ de CDG.
N'étant déjà pas très fan de petit déjeuner au sol, ce n'est clairement pas en avion que je me régale le plus.
Oui, en particulier grâce à l'équipage.
A bientôt.
Salut Stephane ! Merci pour ce partage. L'aéroport est vraiment superbe.
Bonne surprise que ce surclassement qui te permet de voyager dans de très bonnes conditions. Equipage au top qui contribue largement à passer un moment agréable.
Salut Christophe.
AUH est très réussi, et à taille humaine, ça change d'IST...
Merci au remplissage soudain qui nous a permis de passer devant le rideau, c'est toujours apprécié !
A bientôt.
Merci pour ce FR
Cela me rappelle mon voyage du printemps, mais en mieux.
Et je ne fais pas allusion au taxi
Le salon a évolué, lors de mon passage il n’y avait de séparation entre les différents statuts des PAX
Cette offre n’était pas disponible lors de mon passage
Même si la place n’est pas la meilleure, cette upgrade apporte un confort de voyage largement supérieur
Je fais des erreurs, mais là c’est stupéfiant, on risque l’incident diplomatique 😂
J’ai une intervention dans les prochains mois à Abu Dhabi, hâte de redécouvrir ce magnifique aéroport
A bientôt
Merci Gilles pour ton commentaire.
J'ai effectivement bien relu ton FR avant de partir ;-)
Intéressant de voir les changements (en mieux) concernant le salon.
Bons vols !
A bientôt.