Review of EVA Air flight from Seoul to Taipei in Economy

Bonjour,

Continuons ce voyage asiatique avec Eva Air cette fois-ci.

Après un séjour de quatre jours à Séoul, retour à l'aéroport d'Incheon par un train AREX, solution rapide et peu onéreuse.

Eva Air opère depuis le terminal 1, tout comme Asiana, principal opérateur de ce terminal (Korean Air étant au terminal 2, plus moderne).

Enregistrement au comptoir Eva Air, sous-traité à Asiana.

Après un passage rapide de la sûreté et de la PAF à une borne automatique, nous nous retrouvons airside.

Les coréens aiment bien ces petits robots, que l'on retrouve assez fréquemment.

Nous voilà dans la Airstar Avenue.

Nous nous rendons à notre porte pour tirer le portrait de notre A330-300, immatriculé B-16335 et livré en novembre 2015 à EVA Air.

Nous embarquons parmi les derniers. Mon dernier vol avec cette compagnie remonte à 2018 et était mon premier long-courrier en business, là nous allons faire plus modestement un vol moyen-courrier en éco.

Nous avons 2 sièges bulkhead sur la rangée centrale.

Ces sièges sont équipés de prises électriques.

Des écouteurs sont à notre disposition

Safety card

Catalogue du duty free

Et le petit sachet waterproof !

La vidéo de sécurité, dont je vous mets le lien en dessous.

Pas de photo extérieure en raison de nos places, on décolle et passe directement au service du déjeuner !

Et après déballage.

Choix unique pour le plat, poulet, pâtes et quelques légumes.

Salade et gâteau

J'ai pris de la bière cette fois-ci, il y avait aussi du vin rouge/blanc.

Couverts métalliques et siglés Eva Air.

Un repas plutôt appétissant, j'ai tout mangé.
Les IFE sont un peu dépassés, mais pour la durée du vol c'est suffisant, ces appareils ne faisant pas de long-courrier. J'ai regardé (en partie) un film sur Enzo Ferrari.

Après ce repas, passage aux toilettes qui sont propres.

Une petite décoration florale est présente, ce qui est rare en éco.

Vue de la cabine très bien remplie.

On se posera ensuite à l'heure. Vue des différents motifs sur les sièges.

Débarquement, la météo n'est pas très engageante.

On parcourt ensuite de longs couloirs bas de plafond (et avec très peu de sièges pour s'asseoir) jusqu'à l'immigration, où nous étions précédés par un un habitant du Kirghizistan qui aura fait un appel vidéo Whatsapp presque sous le nez de l'officier d'immigration, ce qui nous aura bien fait rire !

On changera ensuite un peu d'argent, achètera une carte Sim locale, puis nous rejoindrons Taipei avec le très pratique MRT.
Voilà la trace Flightradar de ce vol.

Fin de cet opus, on se retrouve prochainement avec le 747 !