Bonjour à tous et bienvenue pour ce nouveau segment à destination de Bangkok.
Il s'agit du gros morceau du routing aller, avec une escale longue, de nuit à Jeddah, qui me permettra de vous présenter de manière assez exhaustive le salon Al Fursan, flagship de Saudia en son hub.
Egalement au programme, une liaison d'un peu moins de 8h à destination de la capitale Thaïlandaise, en 787-10, module le plus moderne de la flotte Saoudienne et que je n'ai pas encore eu l'occasion de fréquenter!
Les éléments de contexte sont présents sur le FR du vol précédent, et l'intégralité du routing est (ou sera) disponible ci-dessous.
Bonne lecture.
Flight routing
- 1
- 2
- 3SV844 - Affaires - Jeddah → Bangkok - Boeing B787-10
- 4DD324 - Eco-Premium - Bangkok(DMK) → Ubon Ratchatani - Boeing B737-800
- 5VZ221 - Economie - Ubon Ratchatani → Bangkok (BKK) - Airbus A320
- 6???
- 7???
- 8SV845 - Affaires - Bangkok → Jeddah - Boeing B787-10
- 9SV365 - Affaires - Jeddah → Tunis - Airbus A330-300
- 10AF1185 - Affaires - Tunis → Paris - Airbus A321
Transfert à Jeddah
Je vous avais laissé à la sortie de mon vol arrivant de Tunis, dans les entrailles de Jeddah.
La signalétique pour les correspondances est relativement claire, avec peu d'alternatives possibles de toutes façons.
Bien qu'il y ait 2 indications différentes entre départs internationaux et transferts internationaux, tout le monde semble être dirigé vers le même endroit.

Enfin dire "tout le monde", c'est peut être faire une généralité, en effet, il existe des comptoirs SkyPriority dédiés.

Pour accéder au PIF idoine, il convient de présenter sa carte d'embarquement aux cerbères du comptoir.
Amabilité en dessous de 0, ça sera une constante lors de mon passage dans cet aéroport, très désagréable cette attitude.

Il me faut donc par la suite repasser un PIF tout aussi désagréable et où il convient de se mettre à nu (pas littéralement, vous pensez bien…)
Mais tout y passe; PC, chargeurs, câbles, APN, batteries, chaussures. Les agents ne font aucun effort pour s'exprimer et vous engueulent quand vous oubliez le moindre petit item dans votre sac. Je partirai sans mot dire, ni merci, ni au revoir
Le tout est cependant rapidement expédié, puisque 15 minutes seulement seront nécessaire entre ma sortie de l'appareil et cette photo de la zone commerciale du terminal. On y accède en prenant un escalator après ce PIF mal-aimable.
C'est beau, propre, lumineux et très aéré.

Une photo sur le FIDS qui propose également en rappel un plan du lieu, ainsi que des informations sur les temps de transfert entre les différentes portes. Pas mal de mouvements à venir à cette heure de la soirée.

A l'image du reste de la zone, et de l'aérogare en général, la zone commerciale est quasi déserte, et il n'y a aucun vendeur.
Pour un aéroport de cette taille, et avec ces ambitions, je trouve les boutiques et les offres assez mal mises en avant et l'ensemble reste de taille assez restreinte.
On est loin des centres commerciaux que proposent DXB / DOH et autres aéroports de la région.

N'ayant rien à acheter, les tarifs étant rédhibitoires par ailleurs, je décide de monter d'un étage, endroit où se situe le lounge flagship de Saudia; direction donc le AlFursan.

Saudia Alfursan lounge Jeddah
L'endroit est joli et aucun doute sur le lieu, on sait où l'on est. Mais encore une fois, 0 personnel, accueil inexistant vu qu'il n'y a personne, j'ai l'impression d'être dans une ville fantôme!

Directement après les portiques, on tombe sur un long couloir tout en marbre, avec quelques indications quant à l'organisation des lieux.
Nous reviendrons sur chaque zone en détail.

Mais avant de pénétrer plus avant dans le salon, on notera, juste à l'entrée, une consigne à bagages dont je n'ai pas compris le fonctionnement (aucun personnel n'étant là pour m'éclairer…) et juste de l'autre côté, une salle de distraction

Un billard en excellent état est à disposition, et la présence de queues rend le tout utilisable, ce qui n'est pas toujours le cas.

Une PS5 est à disposition, mais trouvant tant bien que mal un personnel pour lui demander comment s'en servir, celui-ci me répondra séchement qu'il ne sait pas ou sont les controleurs…

Une planche de Carrom, jeu majoritairement pratiqué en Inde, et dont je n'ai jamais entendu parler, complète l'ensemble.

L'endroit est particulièrement joli, mais l'ensemble du salon est climatisé version pôle nord, ce qui rend le séjour très peu agréable.
Toutes les zones souffriront de ce désagrément, prévoir des épaisseurs supplémentaires pour rendre son séjour en ces lieux, plus supportable.
Pour rejoindre la zone principale du lounge, il convient de traverser une passerelle vitrée qui donne sur la zone public de l'aéroport, agréablement décorée.

mais dont très peu de commerces sont ouverts!

Et on débarque dans la zone principale du lounge.
2 espaces existent, puisque l'endroit abrite également une partie First. Celle-ci était accessible jusqu'à il y à peu aux membres Platinum du programme Flying Blue, mais il semble que SV ait décidé de changer les règles, en n'autorisant plus l'accès qu'aux membres de son programme de fidélité propre.
Je demande, et obtiens, quand même de pouvoir faire quelques photos de l'endroit.
Un enclos réservé qui donne directement dans la partie non first du salon. Seules ces baies vitrées vous séparent de la foule… pour peu que foule il y ait!

Un salon bien plus cosy, où je me serai bien posé!

Ici, en revanche, je m'interroge sur l'aménagement qui n'est en rien privatif, ni pratique.

Le vrai avantage de cette partie First (outre la restauration à la place, je suppose - je n'aurai pas l'occasion de voir ce qu'il en est) réside dans une salle de repos dédiée et qui semble confortable. Plus confortable en tout cas que ce qui est proposé de l'autre côté.


En effet, malgré le fait que Saudia utilise son hub de Jeddah en proposant des correspondances de nuit particulièrement longues, le salon ne semble pas avoir été pensé pour accueillir les passagers nocturnes dans les meilleures conditions. A moins que cela ne soit voulu.
Dans les faits, pour vous assurer un semblant de repos à l'horizontale, il vous faudra, dès votre arrivée, vous jeter sur une des 4 ou 5 pièces fermées qui peuvent faire office de salle de repos.
En revanche, même cette partie du salon reste éclairée en mode pleins phares toute la nuit, des hauts parleurs jouent en boucle une musique d'ambiance qui peut taper sur le système, et de nombreux pax viennent voir si les lieux sont vides ou pas.
Ajouter à cela le froid polaire qui règne, le repos n'est absolument ni garanti, ni réparateur.

Astuce, il existe "une salle de cinéma" située à l'entrée du lounge équipée de gros fauteuils recliner épais et confortables, où il n'y a pas d'autre lumière que celle de l'écran et qui peut être à considérer comme lieu de repos. En revanche, c'est moins privatif que les espaces présentés auparavant.
Retour dans la zone à laquelle j'ai accès, avec un FIDS qui permet de suivre les opérations et une offre de presse somme toute marginale.

Les espaces sont très beaux, et les volumes ronds permettent de circuler assez librement dans le lieu.
Un piano trône au centre.

Mais il n'est pas accessible, et c'est sans doute mieux ainsi!

Sur le pourtour extérieur un mange debout permet de profiter de tablettes mises à disposition.

En poursuivant vers le cœur du lounge, on retrouve une configuration de fauteuils plus classique, en mode petits salons

Où individuels, comme ici tout au fond du lounge. Impossible cependant de s'allonger sur ceux-ci.


Au centre de l'endroit, on retrouve une immense zone dédiée à la restauration. Très calme lors de mon premier passage, elle sera atrocement bruyante au fur et à mesure de la nuit et du remplissage par de nombreuses familles.
On note un four à pizza qui est censé être fonctionnel, mais pour ce faire, encore faudrait-il qu'il y ait du personnel…

Il est va de même pour ce qui est du débarrassage des tables, ce n'est absolument pas sérieux, et ça donne une image particulièrement négligée et désagréable à l'endroit.
Je précise, que toutes les photos n'ont pas été prises au même moment, et qui aurait donc pu expliquer qu'un changement d'équipe créé un peu de flottement, il n'en est rien, ça sera une constante!




Nous reviendrons un peu plus tard dans la partie restauration, quand celle-ci aura été débarrassée et nettoyée.
Le salon AlFursan est vraiment étendu et propose malgré tout plusieurs espaces et services à noter.
Parmi lesquels, une grande salle pouvant être utilisée pour travailler. Cette pièce met également à disposition quelques ouvrages à consulter sur place.


Dans les immenses couloirs du salon, Saudia fait la promotion de sa (nouvelle) identité visuelle, et on retrouve quelques spécimens intéressants, sous forme de maquettes.



Vers l'entrée du salon, une petite boutique, genre duty-free fourre tout, propose un ensemble hétéroclite de produits, mais une fois encore, personne pour accueillir la clientèle.

Sans transition, tout au fond du lounge, une salle spécialement aménagée pour les plus petits est proposée.
Celle-ci ne connait aucun succès, et pourtant croyez-moi, il va y avoir de la marmaille dans ce salon d'ici peu!


Après ce tour plutôt complet des lieux, voyons voir comment est proposée l'offre de restauration.
On commence par le froid, avec des entrées type wrap et sandwiches


Des amuses bouche.

De l'autre côté, des plats chauds sous cloches sont en libre service.

Parmi ceux-ci, une proposition de poisson blanc (+ du poulet hors photo)

Quelques accompagnements, légumes ou riz blanc.


Pour le reste, le salon offre la possibilité de se faire servir minute des œufs, ou des pates.

Mais il vous faudra tomber au bon moment… vous vous rappelez, il n'y a personne pour assurer le service dans ce salon!

Dans les faits, le stand restera désert pendant plus de 45 minutes avant qu'on ne voit revenir quelqu'un pour préparer les fameux plats à la demande.


Je demanderai une simple omelette pour ma part.
A noter, à l'exception des assiettes qui sont en céramique, l'ensemble de la vaisselle est jetable!
Verres en plastique, couverts jolis, mais en plastique également.

Vous avez peut être repéré sur une des photos précédentes, il existe une espèce de bar dans le fond du salon.
Celui-ci est joliment mis en valeur.

et propose à la fois une offre de boissons chaudes, mais aussi froides, avec notamment des "mojitos"

En revanche, il faut retourner vers l'entrée du lounge pour trouver les propositions sucrées et desserts.
Globalement les lieux sont sacrément mal foutus et rien n'est très logiquement agencé!

Mais ce n'est pas ce qui va m'arrêter. La dose de sucre est importante, à la fois dans l'assiette et dans le verre!

Quelques stands comme celui-ci existent aussi pour qui ne souhaiterait pas attendre le proposé aux boissons chaudes.

J'avais donc, dès mon arrivée dans l'endroit, sécurisé une des pièces les plus propices au repos.
Je m'y rend après le repas pour essayer de fermer un peu les yeux. Peine perdue, entre le froid, la musique, la lumière, les vas-et-viens incessants… L'attente est donc longue lors de cette escale, mais je m'y attendais.

Peu avant l'embarquement, je demande à prendre une douche. Il faut s'armer de patience car je fini par croire qu'il y a une pénurie de main d'œuvre au KSA!
La preuve, ils utilisent des robots pour proposer des bouteilles d'eau de façon autonome aux usagers du lounge. Celui-ci est en cours de chargement, alors que son frangin arpente frénétiquement la zone située à l'entrée du salon.

La douche, bienvenue, permettra de me réchauffer un peu, et l'ensemble est très propre et met à disposition tout ce qu'il faut.


Arrivé sur les coups de 18h45, reparti juste avant 1h du matin, j'ai trouvé le temps long. (le prix à payer pour voler à ce prix là)
Le salon est très beau, mais pas très agréable en termes d'aménagements pour une escale longue de nuit.
Le manque de personnel est criant, et son amabilité toute relative rend sa présence des plus anecdotique.
Seul conseil: ne pas hésiter à embarquer la couverture du vol précédent pour supporter la fraicheur de l'endroit, et pour le reste, prendre son mal en patience.
La sortie est automatique, il ne faudrait pas déranger qui que ce soit en disant au revoir!

embarquement pour le vol SV844
Toujours aussi peu de monde dans cette rotonde centrale qui fait son petit effet malgré tout.

La fréquentation n'est pas beaucoup plus élevée dans les couloirs. Le marbre est resplendissant et l'usage omniprésent du verre donne vraiment de la classe à l'endroit.

Les volumes sont impressionnants.


Arrivé en porte 11, je note qu'il y a en fait 2 portes séparées: 11a pour le flux de l'éco…

11b pour les passagers à statuts et ceux de classe affaire.

Mais force est de constater qu'à l'heure d'embarquer, rien n'est prêt en porte 11B (le personnel, tout ça tout ça…)

Alors qu'en face, ça fait bien longtemps que les passagers de la classe économique ont commencé à rentrer dans l'appareil.

Résultat il est plus de 1h30 quand nous sommes autorisés à emprunter la porte 11B (car je me serai entre temps fait recaller de la porte 11A…)
Et forcément, dans la passerelle, c'est chargé, d'autant qu'une seule porte est utilisée.

Je prends quand même le temps d'essayer de tirer le portrait à notre bel appareil qui arbore encore une ancienne livrée.

Mais celle-ci semble immaculée, j'aime ce réacteur!

à bord du vol SV844 - Jed-bkk B787-100
Je bifurque à gauche à mon entrée dans l'appareil, pour découvrir cette cabine J, configurée en 1-2-1, composée de 24 sièges.
L'ensemble de la cabine est baignée par un agréable mood lighting mauve.


L'attention aux détails est à souligner sur cette cabine récente.

Voici mon siège pour le vol à venir.
L'armement est hyper complet, avec oreiller (couverture sous l'oreiller), casque et bouteille d'eau.




Détail sur la ceinture 3 points à utiliser pendant les phases sensibles.

L'étui du casque est siglé first class mais j'ai été incapable de retrouver la moindre route opérée en F chez SV.


Je commence à m'installer et à prendre mes marques, un crochet permet de débarrasser sa veste

Sur la gauche de mon siège, un espace de rangement avec une liseuse.

Sur la droite, une paroi permettant de s'isoler du couloir, et du voisin, de l'autre côté.
On remarque quelques traces / tâches sur les matériaux.

Les hublots du 787 sont particulièrement grands, leur opacification electro-chromique peut être contrôlée par l'équipage de façon centralisée, et en J, on dispose de 2 hublots par sièges.

Je trouve le siège plutôt bien conçu, avec de nombreux rangements, dont celui-ci, situé sous l'accoudoir, qui est lui même escamotable pour augmenter la surface de l'assise.

L'IFE est vraiment d'excellente qualité, avec de bons contrastes, et il est paramétrables à l'envie (nous y reviendrons)
Tiens, c'est là qu'on va non?

Rapidement, une boisson d'accueil est proposée par l'équipage, accompagnée d'un oshibori froid.

Puis vient la distribution de la trousse de confort, de fort belle qualité.
Elle existe en version homme ou femme, et son contenu est complet (désolé pas de photo)

On note la présence d'un chef à bord, celui-ci profitera du traditionnel service de café / dattes pour se présenter aux passagers.

L'embarquement traine en longueur, et il est déjà plus de 2h00 du matin à Jeddah quand nous repoussons.
Le temps de chopper un cousin en livrée spéciale Riyadh.

La cabine est tamisée pour le roulage.

Et celui-ci sera long, plus de 20 minutes avant que nous nous arrachions au sol, direction Bangkok.

La montée est progressive, nous sommes bien plein!


Je peux me mettre à l'aise une dizaine de minutes plus tard, le siège est confortable en mode relax.

Un quart d'heure plus tard, le service commence, avec une proposition de noix chaudes.

Le chef profite également de l'apéro pour mettre en avant et proposer l'offre sans alcool de la compagnie. Il s'agit exactement de la même offre que sur le vol précédent depuis Tunis.



Il s'agit ici d'une espèce de cocktail de fruits pétillant, pas désagréable, mais bien sucré.

A choisir, je préfère la boisson dans sa version pêche que framboise!

Les menus ont été distribués pendant la proposition d'apéritif

Et il est temps de mettre la table en place.
La tablette est bien conçue; elle se déplie en 2 parties, et est montée sur un rail qui permet de la faire reculer jusqu'à l'écran pour sortir du siège plus facilement.

Une nappe est dressée, mais il est déjà 3h30. L'ensemble du protocole est particulièrement long pour un départ aussi tardif.

Encore une fois, j'ai un peu de mal à comprendre la teneur du catering, la PNC m'indique que j'ai le choix entre un light diner, ou un petit déjeuner.
L'offre du diner est celle-ci

C'est trop copieux pour moi à ce moment.
Je pioche donc dans une des propositions de l'offre "all day" et opte pour les mezze.

Le repas se compose donc d'une généreuse portion de houmous, d'une salade genre taboulé, de labneh (que je ne mangerai pas) et de deux kibbeh sortes de boulettes de viandes et de boulgour…
J'arrose le tout d'une boisson maltée


Le pain est servi tiède, et sera très bien pour accompagner le houmous.
Vous noterez encore une fois, le nombre d'items de vaissellerie!

Pas mauvais, loin de là, mais ce n'est pas ce dont j'avais envie.
J'aurai du me réserver pour le petit déjeuner, celui-ci étant qui plus est proposé avec des plats minute, grâce à la présence à bord du chef qui peut préparer notamment les œufs à la demande.


La fin du repas verra un reboot général des IFE alors que tout fonctionnait très bien jusqu'ici.

Reboot qui sera bien long par ailleurs.

En attendant, je confirme que le wifi est opérationnel, mais je m'en passerai sur ce tronçon.

Une fois l'IFE revenu, je peux vous présenter le niveau de personnalisation proposé par celui-ci, c'est assez bluffant.
Il est en effet possible d'appairer son téléphone avec l'écran de la cabine. La procédure est un peu ardue cependant.

Si vous ne souhaitez pas vous embêter avec cela, la télécommande intégrée au siège fait très bien l'affaire.
Elle est connue des usagers d'Air France notamment!

Elle est particulièrement réactive, l'écran de qualité, l'ensemble est très intuitif.

On retrouve sur cette zapette un rappel du menu proposé sur l'écran principal, tout ou presque, est pilotable depuis cet appendice.

L'IFE permet aussi de régler le hublot et l'éclairage du siège.

Les paramètres Do Not Disturb (DND) font la part belle à l'aspect religieux de la compagnie, mais aussi aux pauses repas :)
Le fond d'écran est par ailleurs personnalisable!

Enfin, si vous le souhaitez, et ce même en plein programme, des notifications d'actualités peuvent apparaitre sur votre écran.

En complément, le réglage du siège dispose de son écran de contrôle tactile dédié, celui-ci, à la différence de boutons physiques limite le risque de manipulation par mégarde.

Il est ainsi possible de passer le siège en mode détente. (avec cette accoudoir qu'il est possible d'escamoter)

Ou alors en position full-flat pour profiter d'un lit plat, avec les contrôles du siège parfaitement situés, même une fois allongé.

C'est ici que, pour ma part, je rendrai les armes. La journée à été longue et j'espère profiter de l'après-midi à mon arrivée à Bangkok.
Je dormirai franchement bien jusqu'au dernier moment, ayant fait le choix de ne pas prendre de PDJ.
A M-30 de l'atterrissage, l'équipage rallume la cabine, mais prend quand même le temps de me distribuer une serviette fraîche ainsi qu'un chocolat.

et même de me proposer une boisson, ce que j'accepte.
L'ensemble est toujours présenté de façon soignée.

J'englouti ça prestement, alors que la cabine est pleinement rallumée.

Le chef à bord passe faire le tour des passagers pour leur demander leur ressenti, appréciable.
Et dans le même temps, la CC cherche à récupérer les menus, mais pas les casques bizarrement.
Le mien (de menu) ayant déjà fini dans mon sac, elle semble embêtée. Pourtant le menu est propre à la liaison KSA-BKK, il ne peut donc être réutilisé pour le vol retour.
Aucun coupon pour le fast-track n'est distribué aux passagers de la classe avant, à suivre.
Il est 13h20 locale quand Suvarnabhumi perce au travers des nuages et de la brume de chaleur.

Nous sommes parfaitement dans les temps malgré la belle traversée que nous venons d'effectuer.
L'ensemble du vol aura été bien calme, ce qui est appréciable.

Virage serré pour nous aligner en finale.

Et survoler un des multiples temples de la capitale Thaïlandaise qui mérite quelques jours de visite.

Puis toucher des roues sur le sol Thaïlandais à 13h35, parfaitement à l'heure donc.

Le roulage est l'occasion pour la compagnie de proposer une très courte enquête de satisfaction à ses passagers.
Pour ma part, le vol s'étant très bien déroulé, je serai généreux.

Quelques beaux spécimens attendent sur le tarmac.


Un peu plus proche de notre porte, un Oryx en livrée OneWorld.


Débarquement et arrivée à BKK
5 minutes de roulage pour être en porte et au revoir poli en seuil de porte.
Dès la sortie de l'appareil, des écrans informent les passagers du tapis sur lequel seront livrés leurs bagages.

Alors qu'il faut se préparer à un peu de marche pour arpenter Suvarnabhumi.
Des indications propres aux vols domestiques, avec la distance entre chaque points de cheminement, sont présentes.

Il en est de même pour ce qui est des informations propres à l'immigration.
Même si je n'ai pas eu de coupon de fast-track, je me rend tout au fond de la zone, où je sais que se situe le passage dédié.

J'avise alors ce panneau prioritaire où figure une ligne pour les passagers business, je semble donc éligible sans autre forme de document à fournir.

Ca sera effectivement le cas, et 10 minutes (et un tampon dans le passeport) plus tard je suis devant le tapis bagage mentionné précédemment.

Celui-ci ne mettra pas bien longtemps à cracher ses premiers bagages, parmi lesquels figure mon bien.
Je suis donc dehors à 14h10, soit une grosse demi-heure après notre arrivée, pas mal!

Je rejoindrai le quartier de Ratchadamri en Bolt (ou Grab je ne sais plus) en à peine 40 minute et 300 THB (plus le péage en liquide pour le highway) où je passerai quelques nuits dans le superbe Muse Hotel qui mérite que l'on s'y arrête!
Merci à tous pour votre lecture et vos éventuels commentaires et à bientôt.
PS: Le prochain vol sera peut être le premier des deux vols "mystères", je reporterai le vol intérieur sans doute plus tard.
Merci Mathieu pour ce FR, très instructif pour ceux qui seraient tenté de céder aux sirènes de SV (dont tu sais que je ne fais pas partie ;-).
Tout est dit pour résumer ce salon qui ne fait pas envie du tout. Entre le personnel mal aimable (pour peu qu'il soit présent), l'absence de zone de repos et l'ambiance peu relaxante, cela n'incite pas vraiment à y séjourner. Pas même quelques bulles pour se consoler, mais ça on le sait d'avance. Du coup je te trouve bien généreux pour la note du service !
Le tout est très clinquant et plutôt froid, non ?
Un embarquement chaotique, pour le coup les pax Eco ont pris leur revanche sur ce coup-là.
A bord les passagers Air France ne sont pas dépaysés avec ces sièges Cirrus bien connus.
J'imagine que la seconde contient un voile ?
Catering de qualité, même s'il n'était pas à ton goût. Il faut dire que tu as eu du courage vu l'horaire red-eyes de dérouler le service complet.
Ahah tu as fait comme si tu ne comprenais pas ce qu'elle te demandait ? ^^
BKK fluide comme on l'aime, ça fait toujours plaisir à l'arrivée !
Mais qu'est-ce que ça peut bien être ?...
Merci encore pour le partage, qui me conforte dans l'idée que je ne suis pas prêt de voler avec SV, même si le tarif est très attractif.
A+++
Il me semble que le siège est plutôt dans la lignée du Super Diamond que du Cirrus.
Hello Stéphane, et merci pour le commentaire,
Une chose semble sure à la lecture de ces quelques lignes, voila une compagnie qui ne fera l'objet d'une de nos escapades hédonistes ^^
Le salon propose tout de même un nombre important de serviceS (cinéma / offre solide à la demande / baristas / comptoir de dégustation de chocolat / douches ...) - c'est pour cela que la note est assez haute.
Non, l'aérogare est vraiment belle et je préfère cela à nombre d'aéroports sombres et bas de plafond.
J'aurai du prendre le parti de dormir direct au décollage et de me rabattre sur les oeufs à la demande le matin, pas bien grave.
Je n'ai effectivement pas compris ce que voulait l'hôtesse; qui récupère de vulgaires bouts de papier, mais laisse les casques en cabine?
Ma conclusion, que tu connais, est à l'inverse de la tienne, avec un tarif aussi bas, j'embarque une polaire et je repars sans soucis sur SV!
a très vite
Tu nous donnes là une image bien peu flatteuse de ton escale et à l'opposé à ce que mes amis Nico et Cobra ont relatée.
Mais il est où le temps où le personnel se faisait flageller et lapider quand on osait défier le maître? (LOL)
Encore une fois, sempiternelle question: compagnie dry, personnel au sol à JED infect: reprendrais-tu Saudia?
Proposer de beaux tarifs et un bon produit à bord, c'est une chose. Mais quand on inclut un hub dans le circuit, c'est quand même un rouage important dans le voyage.
"La dose de sucre est importante, à la fois dans l'assiette et dans le verre!"=> on peut très bien tomber ivre de glucose à défaut d'alcool (LOL)
"Il faut s'armer de patience car je fini par croire qu'il y a une pénurie de main d'œuvre au KSA!"=> pourquoi? Il faut aller chercher l'eau dans un puits?
"(le prix à payer pour voler à ce prix là)"=> c'est bien connu, le temps, c'est de l'argent
"rien n'est prêt en porte 11B (le personnel, tout ça tout ça…)"=> toujours en train de puiser l'eau du puits? (LOL)
Ce que je retiens de tes deux premiers vols, c'est qu'il faut faire un sacrifice sur beaucoup de choses pour accepter de voler en Business Saudia et de passer par JED. Tant qu'on l'accepte et qu'on assume son choix....
Saudia comme beaucoup de compagnies du golfe copie le modèle Emirates et Qatar Airways comme afficher les tarifs bas pour attirer la clientèle. Mais il est évident que le chemin est encore long pour pouvoir égaler les reines de la région.
Merci Mathieu pour ce report
Salut Bernard et merci pour la lecture et le commentaire rapide
il se trouve que nous tenons en ce moment même colloque avec l'ami Ateon sur le sujet! De mon côté, le choix est assumé, et comme dit plus haut, à ce tarif et avec ce niveau de qualité, je referai l'expérience.
La question se pose nettement plus si, en complément d'une longue escale de nuit loin d'être agréable (pour moi), le matériel utilisé par SV n'était pas si récent que leur 787-1000 (exemple, JED-CGK avec leur vieux 777 (config en 2-3-2 sur cette ligne) et là, c'est no-go
J'espère avoir été assez objectif et précis dans le FR et la conclusion pour que chacun se fasse son avis, ce qui plait à certain ne plait pas aux autres, et je serai ravi de discuter avec toi et Nico de ce qui a rendu leur expérience agréable (au sol à tout le moins)
A très vite pour tu sais quoi!
Merci Mathieu pour ce FR
Le salon fait peine et le catering en vol est quand même mieux
Oui, c'est en effet pas mal du tout avec un bagage en soute. C'est presque aussi bon que NRT
Comme Stéphane, ces différents FR ne m'inclinent pas à devenir un client SV sauf cas de force majeure pour des raisons que la simple lecture de mes propres FR expliquent.
Merci pour les remarques JM.
Le salon est beau, mais assez mal conçu / pensé pour les passagers aux longues escales de nuit.
L'utilisation de la file dédiée à BKK fait gagner pas mal de temps.
Il en faut pour tous les gouts, et même s'il est certain que je préférerai voler sur une autre compagnie, ou limiter les contraintes, le prix est un critère de choix qui rentre en compte et pour le prix, SV est à considérer :)
A bientôt.
Hello Mathieu
Tu n'as pas eu de chance lors du passage de la sûreté à Jeddah ! Me concernant, je n'ai jamais eu à tout debaler de mon sac... Il edt vrai que leperdonnel n'est pas spécialement souriant.
J'ai trouvé que le prix de la cartouche de clops dans le duty free était très bon marché, environ 20 €... Au lieu de 110 en France.
Excellente présentation du salon, pas de pot une fois de plus, puisque j'ai pu accéder dans la zone First, en étant "que" Gold à l'époque. Et il y avait du personnel à tous les niveaux, certains sympa, d'autres plus réservés...
Le très gros hic de ce magnifique espace est en effet l'impression d'être dans un réfrigérateur, alors qu'à l'extérieur la température stagne à 38° à 23h00 !
A bord, rien à redire, le service n'est pas mal du tout.
Il faut connaître le truc pour passer dans la file prioritaire à BKK, et ne surtout pas hésiter à demander son chemin...
Le Muse hôtel est un cocon, mais ma douce moitié ayant vécu à Bangkok, ne veut absolument pas en entendre parler... Il paraîtrait, à ce qu'il paraît, que des fantômes y séjournent, suite à un assassinat commis il y a quelques années, brrrr.
Merci pour le partage, à bientôt !
Merci pour la lecture et les commentaires Hervé.
Il semble que je n'ai pas eu de chance tout court à Jeddah, entre la sécurité, le manque de personnel au salon et en porte, l'humain pêchait ce soir de novembre lors de mon passage.
J'ai pourtant pas mal insisté pour pouvoir accéder à la partie First, le site de SV n'étant pas des plus clair sur cette partie de la règle.
Une fois en vol, pas grand chose à dire, si ce n'est que le service personnalisé entraine un peu de délai, c'est un peu long.
Mais les cabines modernes et les sièges de qualité permettent de profiter d'un sommeil réparateur.
Je commence par bien connaitre BKK et il faut effectivement tenter sa chance.
Pas de meurtre lors de mon passage au Muse Hôtel, en revanche, des travaux sur les lignes électriques de la rue ont fait qu'il n'y avait pas de courant jusqu'à 18h ;)
Merci pour ce FR.
Description et visite plutôt exhaustives du salon, même si je ne vois pas de porte aux endroits cités comme « fermés » et qui se comptent sur les doigts d’une main ?
Salon qui par ailleurs est vaste bien qu’agencé selon un plan qui nous échappe. Il est aussi décrit comme bruyant mais le texte et les photos ne nous rendent pas « le bruit et l’odeur ». ^^
En vol c’est un peu mieux avec des PNC qui ne sont pas aux abonnés absents.
Franchement, qui aurait l’idée saugrenue d’accompagner un repas avec de la bière sans alcool ?
C’est fou ce que SV pousse les gens à faire. ;)
Pour ma part je rejoins les précédents commentateurs : il en faudra (beaucoup) plus pour que je fréquente un jour un appareil SV.
A bientôt.
Merci Clément pour la lecture,
Quelques abus de langage peut être dans le récit.
Tu le notes justement, les pièces de repos ne sont effectivement pas fermées, elles sont justes "plus isolées" que le reste des assises du salon.
Quant au bruit, crois bien qu'au moment de mon départ, les lieux étaient blindés côté restauration et les familles, nombreuses, avec des enfants rois des plus désagréables!
En vol c'est nettement plus qualitatif à mon avis, même si la bière sans alcool fait dresser les poils de certains :) (ce n'est ni bon ni mauvais mais ça se laisse boire...)
Au moins, parmi mes lecteurs, la tendance est claire, et c'est un no-go pour SV
Merci encore.
Merci Mathieu pour cette suite.
Ayant failli succomber au sirènes saoudiennes, j'attends les FR SV avec fébrilité.
Le vol depuis Tunis n'était pas vraiment convaincant alors qu'en allait il être de celui vers Bangkok.
Un peu comme à FRA...
J'avais eu des retours sur des vols vers et de JED et l'accueil n'était pas le point fort de la plateforme.
Dommage paracerque les installations sont à la hauteur. Espérons que cela s'arrange dans l'avenir.
Pour des connexions longues, il semblerait qu'on puisse sortir pour passer la nuit ou la journée à l'hôtel, une longue attente au salon ne semble pas un bon plan.
Une fois dans l'avion ça s'arrange vraiment, la cabine est belle, le siège confortable et les prestations tiennent la route.
Alors bon plan ou pas? j'attend de lire les autres récits ?
Plus besoin de coupon pour le Fast Track à BKK, le BP en Business suffit.
A bientôt.
Il sera toujours temps de te faire un avis par toi même Michel :)
Comme dit à plusieurs reprises plus haut, oui bon plan pour moi (et pour qui accepte les quelques désagréments cités)
Pas de doute sur la beauté des installations, salon, comme terminal, mais le côté humain n'était pas présent (et semble un point faible)
Même avec une correspondance de plusieurs heures, j'avais hésité (et finalement décliné) l'offre hôtelière: il faut anticiper ses bagages pour avoir de quoi passer la nuit à l'hôtel, sortir du terminal, récupérer le moyen de transport et se rendre à l'hôtel, effectuer les formalités de check-in/check-out, repartir vers l'airport, repasser les contrôles de sécurité et d'immigration... bref je pense qu'il faut 8h minimum pour que ça vaille le coup.
Bangkok me reverra, à n'en pas douter :)
A très vite pour d'autres récits.
Merci pour cette suite
JED est plutôt un bel aéroport, grand sans être immense, mais particulièrement vide de PAX et de personnel au salon à priori
Cette longue escale n'a pas été reposante, c'est bien dommage, heureusement le vol rattrape l'expérience au sol
J'espère que l'escale lors du retour sera plus courte
A bientôt pour la suite
Merci pour la lecture Kévin
Effectivement, JED est nettement moins grand et étendu que IST par exemple, mais les ambitions ne sont peut être pas les mêmes.
Et c'est vrai que je n'ai pas croisé grand monde lors de mon transfert (à part lors de mon départ du salon)
L'escale retour sera encore plus longue, mais j'organiserai un peu différemment mon temps, et surtout, je partirai avec la couverture du vol précédent :)
Ton départ depuis GVA avec un monocouloir est moins fatiguant que de partir de Tunis / hâte de lire la suite d'ailleurs.
A bientôt
Merci pour ce report qui me rappelle des souvenirs en demi-teinte de mon escale de nuit à JED dans le froid de ce salon. Dommage que le pizza bar ne soit ouvert qu’en journée, c’est un plus agréable. Le salon fait le job, mais sans plus, ce qui est dommage quand on imagine les ambitions de SV.
Les vols sont par contre de mon côté un sans faute, en J comme en Y d’ailleurs, pour peu que l’on support une dry airline.
Concernant la F de Saudia, il me semble qu’elle est principalement déployée sur quelques 777-300 vers LHR, JFK et LAX (16-17h de vol tout de même)
Merci pour ces quelques lignes,
Il semble que nos expériences ait été très similaires (personnel absent, four à pizza fermé, salles de repos bruyantes et lumineuses) il s'agit donc de "problèmes" structurels à l'endroit, et non de ratés ponctuels.
Le côté dry, sur des distances longues, peut peser un peu. J'apprécie quand je voyage (pour le loisir) d'arroser le voyage d'un verre, mais on s'en remet et la sobriété permet d'arriver totalement frais à destination.
Merci pour l'info sur le réseau First, je vois DXB / IAD et bizarrement Paris également
Merci Mathieu pour ce récit très détaillé. Dommage pour JED de ne pas être à la hauteur de son design en employant des salariés qui n'ont aucune idée de ce qu'est un client ! Le salon est très beau et l'offre de restauration complète. je note qu'il faut prévoir une polaire pour y survivre. A bord un excelent service et une impasse (excusée) sur le petit dej . A bientôt !
Hello Christophe et merci à toi pour ta lecture attentive.
Comme tu le notes il n'est pas du meilleur effet, dans un si bel endroit, que d'avoir des cerbères en guise de personnel!
C'est vraiment une constante comme tu pourras le lire sur les FR d'autres contributeurs, la sur-climatisation rend l'endroit moins agréable qu'il ne pourrait l'être (ça doit pourtant pas être très compliqué que de remonter un peu le thermostat :) )
J'aurai pu organiser le temps en vol différemment pour découvrir les œufs à la demande, sachant que j'aime bien manger salé au réveil!
A très bientôt.
Merci Mathieu pour ce FR.
où il convient de se mettre à nu (pas littéralement, vous pensez bien…) => je veux bien que le pays s'ouvre au tourisme, mais de là à se mettre à nu, j'en serais resté sans voix. ?
Je note que la passage au salon, est en mode frigo et qu'il faut prévoir sa petite laine (voir plus).
Et que le personnel est totalement absent.
Je suis curieuse de l'option hôtel pour un transit plus long.
J'admire de pouvoir manger à cet horaire, moi j'aurais direct mis le mode "dodo".
Contrairement à d'autres , je pourrais voler sur SV, je trouve que le produit reste bon pour le prix payé, mon curseur étant de pouvoir dormir, et d'être en forme à l'arrivée, ici on y est, même si l'attente est un peu longue à JED.
A bientôt
Merci Mathieu pour cette suite.
Je suis vraiment partagé à la lecture de ton FR, en particulier l'expérience au sol, le niveau de service est généralement bon dans le Moyen-Orient notamment grâce à une main d'oeuvre importante, donc je ne comprends pas bien comment c'est aussi mauvais au KSA.
Belle cabine mais assez petite pour du 787-10.
Ta première page du menu est en fait le PDJ orientale et non pas une option du diner.
Pour avoir goûté le Bellini sans alcool, j'ai trouvé ça bon et c'est bonne idée de le proposer à bord.
A+