Bonjour, FRistes de tout le monde.
Ce récit vit le jour à cause d’une imminente échéance de miles et grâce à une révision du programme des billets-primes chez JAL.
Mais, au fond, il se peut aussi qu’un dessein de détente me poussât à découvrir Akita…
COURTE GENESE
Diverses modifications sur le système de réservation des vols domestiques JAL furent introduites le 12 avril 2023. Corollaire extraordinaire pour nous -habitants de la campagne nippone- : les correspondances aux grands aéroports de l’archipel (HND ou ITM) ne nous pénalisent plus.
Note technique : Auparavant les montants de miles requis pour obtenir un billet-prime étaient fixes et les résidents de la région tokyoïte pouvaient explorer n’importe quel coin de l’Empire moyennant ±8.000 miles. Pour ces mêmes explorations, en dehors d’une incursion dans Tokyo (Osaka ou Fukuoka ; accessoirement), c’était ±16.000 pour les campagnards.
Suite aux modifications de printemps, les montants fluctuent en fonction de la demande et un déplacement campagne > campagne est vendu, dorénavant, ±8.000 miles lors des périodes creuses (nombreuses, jusqu’à présent).
Parmi un réseau élargi (ou, du moins, plus accessible) aux villageois, c’est l’inconnu qui me fit épouser les terres occidentales de la région du Tohoku (ainsi que leurs eaux thermales et leurs bijins)*
*détails à retrouver dans le Bonus
Aujourd’hui juste 8.000 miles et 1.100JPY en taxes nous suffisent pour sillonner les cieux entre MYJ-HND + HND-AXT (et, entretemps, être offert thés, cafés ou autres orangeades plus équivoques).
Le premier segment de notre déplacement relève du trivial pour moi. Honnêtement, j’ai du mal à trouver la motivation nécessaire pour aboutir un report complet.
Cependant, je suis en mesure de rendre une succincte esquisse de cette agréable expérience :
ACHEMINEMENT [MYJ-HND]
On commence avec la traversée de la passerelle piétonne régnant sur la gare de notre village.

Qui nous amène au quai, partagé par les voies 2 et 3.
Regrettablement, des contraintes de temps nous empêcheront de voyager dans cette rame loufoque, somnolant sur la voie 3. Pourtant, elle se dirige également vers Matsuyama.

A MYJ, on ne peut pas manquer de rendre nos hommages aux boules locales.

Dans tous leurs états.

Voici le théâtre des liturgies.

Et la vue à travers d’autres fenêtres.

En un tour de main, on est dans les cieux et on fait nos adieux à MYJ.

Ça n’arrive pas tous les jours mais quand ce sieur décide de montrer sa figure, il est immanquablement élégant.

Ici, il est confronté par le Sanctuaire de Sunosaki (洲崎神社- Cap Suno-) qui marque l’entrée de la Baie de Tokyo, sur son flanc oriental.

Très peu après, on arpente les pistes de HND.

Voici, la maison mère.

LE RECIT, EN VRAI
Atterris à 13h12, et avec un peu plus d’une heure et demi devant nous, il est un moment idéal pour penser à se repaitre.
A cet effet, on décide de rejoindre le ‘côté-ville’ du Terminal 1 (quartier général de l’Alliance Rebelle -JAL- a HND), car l’offre de ravitaillement est plus large et affriandante.
En face de la sortie des arrivées, on retrouve une boutique qui risque de faire des dégâts parmi beaucoup de lecteurs/lectrices de ce site

Le ‘Blue Sky Flight Shop’ est à éviter à tout prix, si on ne maitrise pas bien sa toxicodépendance du merchandising aéronautique.

On passe notre tour et on remonte à l’étage des sorties, où notre échoppe favorite aux nouilles-au-curry nous attend.
Un petit délice, comme d’habitude.

Les restos s’étalent jusqu’au 5eme étage. Tous genres sont à retrouver -et très peu de grandes enseignes-.
Mais notre temps est escompté et on aimerait apaiser ces gouts épicés encore acharnés sur nos lèvres.
On obtempère à notre volonté.

Dans un salon sommaire et bien connu, offrant des vues imprenables sur la 16R/34L.

Un A320 de Starflyer s’envole.

Comme le fait un A330 de China Airlines.

L’amusement n’empêche pas qu’il soit décollage -17min. Il vaudrait mieux procéder vers notre porte d’embarquement…
On l’atteint à décollage -15min. Toutefois, l’embarquement vient à peine de commencer.

Ca nous laisse un petit marge pour faire un photo-reportage express des alentours.
(Malheureusement notre destrier n’est pas visible depuis notre position)



Le paysage est beau (à défaut d’être varié)


A décollage -5 min les tourniquets sont facilement franchissables. C’est notre tour, donc.

Le fuselage.

Et la porte, en double.

Et en simple.

On est accueilli avec un grand sourire. Le nez de la cabine est occupé par ce genre de sièges, étiquetés ‘J Class’, mais qui va mieux assimiler à une Premium économique.

Le design des fauteuils vient d’assouvir une refonte complète. Ici, on est face à la nouvelle version.

La classe économique pourvoie aussi des sièges royaux (mais moins épais).

Équipés de prises USB-A et C.

Nos voisins, BC, qui sont forts à Kobe et Naha.

En dépit d’un embarquement ‘de justesse’, on repousse seulement 6 minutes après l’horaire prévu.
Au-delà de l’émissaire de Starflyer, le Terminal International de HND (ou T3).

Finalement, c’est la 16R pour nous, cet après-midi

Le centre opérationnel de HND.

Et un grand but du quartier général de l’Alliance Rebelle.

1,2,3 et hop !
On s’envole et ça permet aux forces de l’Empire d’afficher ses nouvelles capacités : les voutes blanches sont une récente addition au Terminal 2 (domestique), accueillant un bain de pied public et des vols internationaux (-du moins, c’était le cas avant sa fermeture précipitée, en raison de la pandémie).

Hangars et la piste 16L/34R.

La connexion entre le noyau de l’aéroport et la nouvelle arrivée, piste D (05/23).

En détail.


Notre ombre.

La tour du vent de l’Acqualine, décrite plus amplement ici.

Et une vue d’ensemble de HND.

Lui, il est toujours là, sans bouger d’un iota et au-dessus des nuages.

Le Mt. Fuji mérite bien sa renommée.

PETITe GEO
Aujourd’hui, pour cette route vers le Tohoku, très peu de côte est à retrouver au menu du divertissement naturel. En revanche, de nombreuses montagnes et quelques rivières nous attendent.
Urayasu 浦安 (préfecture de Chiba) ce sont des terrains regagnés sur la mer avec ses industries, ses cimetières, ses palmiers ou ses maisonnettes à la ‘Truman Show’. D’ailleurs, en parlant de grosses productions américaines, à gauche on retrouve l’objet de désir de générations entières lorsqu’on se rend à la capitale : les deux enclaves Disney de Tokyo.

Portraiturée ci-dessous, une petite partie du (complexe) système hydrologique d’Edo/Tokyo. De bas en haut : Fleuve Edo 江戸川, Fleuve Shinnaka 新中川, Fleuve Araka 荒川 et Fleuve Sumida 隅田川. Tout ça (à l’exception de petits buts des Sumida et Arakawa) est fabriqué et fut mis en place à partir du 17eme siècle, afin d’épargner la ville-château d’inondations et de faciliter le transport de merchandises.

Avec la brumaille de cet après-midi, je trouve le tableau très beau.
De bas en haut : le Shinnaka, le 'vieux' Naka 中川, le Arakawa et le Sumida.
Avant la mainmise sur la nature, les méandres du Naka connectaient avec ceux du Sumida et le tout s’appelait Fleuve Araka. Mais le sujet est trop compliqué pour le trancher en quelques lignes.
Toutefois, on peut tirer profit de la somptuosité du paysage.

Ponctuant celui-ci, une insertion contemporaine (2012), bien connue des touristes transnationaux.

Plus tard, on survole la plaine de Kanto, une des régions les moins intéressantes de l’archipel, du point de vue géo (c’est un avis personnel).
Néanmoins, il serait dommage de laisser passer l’occasion de vous introduire Utsunomiya 宇都宮, la capitale de la préfecture de Tochigi 栃木県.
A droite de l’image, la gare centrale. En haut et à gauche, le nouveau Kanseki Stadium Tochigi et tout juste en bas, la base aérienne de Kita Utsunomiya 北宇都宮駐屯地 des Forces d’Auto-Défense japonaises (armée en tout sauf son nom).

PAUSE CAFE
En dehors de certains échantillons d’habitations ou infrastructures, le Kanto se révèle bien insipide. Voyons si on peut s’égayer autrement.
Les pochettes des sièges chez JAL sont toujours bien pourvues.

En ce mois d’avril 2023, les basques sont à l’honneur du magazine de bord.

On retrouve aussi un abrégé des nouvelles règles concernant les billets domestiques où l’on nous informe que les catégories des tarifs ont été simplifiés.

Et qu’un tas de minuties ont été remaniées. Entre autres, réductions sur les billets des gamin(e)s, des handicapé (e)s ou sur les allers-retours.

Il était temps que les choses bougent du point de vue géo !
Sur le cliché ci-dessous, le Lac Inawashiro 猪苗代湖, avec le beau bourg d’Aizu Wakamatsu 会津若松 à l’arrière-fond.

Perdue parmi les résidences des samouraï d’Aizu, la structure du Temple Sazae さざえ堂, vaut vraiment le détour.

C’est en ce moment qu’on est accostés avec un gros sourire (et une notice graphique expliquant les breuvages offerts -en japonais et anglais-).

Nous abusons de la gentillesse de notre interlocutrice et passons la commande de deux boissons. Elle est satisfaite illico et toujours avec le même grand sourire.

Un jus maison fluo (pêche + raisin). Skytime, de son nom.

Et un café, couvert avec un opercule en carton (ODD oblige).
Santé.

GRANDE GEO
Nous quittons le Inawashiro et faisons la rencontre du formidable Mont Bandai 磐梯山 (Parc National).

A ses flanc, le Lac Hibara 桧原湖 et le Grandeco Snow Resort sur le Mont Nishi Agatsuma 西吾妻山, où s’étale la limite préfectorale entre Fukushima 福島県 et Yamagata 山形県.

Turbopropulseur enneigé.

Rencontre initiale avec le non-moins formidable Mont Gassan 月山.

En premier plan le mont Hayama 葉山 et à l’arrière, toujours le M. Gassan, membre du triplet des Monts Dewa 出羽三山, montagnes sacrées, surtout pour les adeptes du Shugendo 修験道 (ou yamabushi).

Le Mont Hayama, de plus près.


Les photogéniques rizières de Shikamura 四ヶ村の棚田 attendent des jours moins sévères pour s’épanouir.

Dernière vue du Mt Gassan (versant nord).

On approche les contrées des grands fleuves du Tohoku. Ici, un des plus longs, le Fleuve Mogami 最上川 dans sa traversée du village Okura 大蔵村.

Perçu depuis un autre angle.

Les nuages forment une très jolie couche.

Qui nous empêche de profiter des fleuves…

A défaut de ruisseaux, on se contente avec des montagnes. Ci-dessous, le versant oriental du Mt. Chōkai 鳥海山, qui marque la lisière entre les préfectures de Yamagata et Akita 秋田県.

Plus tard, le Fleuve Chokune 直根川, affluent du Fleuve Koyoshi 子吉川 (un autre des grands cours d’eau du Tohoku).


Encore des nuages…

Et on boucle le tout avec le fleuve Omono 雄物川, dans sa traversée de la ville de Daisen 大仙. La ligne d’Akita Shinkansen perce aussi le paysage dans ce cliché.

Le bassin de l’Omono vient d’être dépassé. Ça veut dire qu’on y est presque. Car la ville d’Akita fut bâtie sur son embouchure.

On longe la rivière pendant un instant.


Mais on finit par percer la forêt anticipant notre aérodrome.


Atterrissage imminent.

Voici l’ensemble de l’aérogare civile, avec ses trois passerelles.

Elle est desservie quotidiennement par une petite vingtaine de vols (domestiques).

Passerelle et tour de contrôle (les installations sont aussi utilisées par les forces japonaises d’auto-défense).

Ce n’est que lors du débarquement qu’on peut profiter pour la première fois de vues extérieures distantes de notre destrier.

Les indications sont claires et traduites en plusieurs langues. Signe d’une forte fréquentation de visiteurs internationaux ?

Ci-dessous, le protagoniste de cet après-midi, en entier.

Le chemin est court et facile car l’aéroport est bien petit.

Merci de vos efforts.

Le couloir des arrivées aboutit à la salle d’attente des départs.

Cependant, on est priés de descendre escaliers ou escalateurs.
(Vraisemblablement les sakés d’Akita sont beaux美酒, peut-être aussi beaux que ses bijin 美人).

Sans bagages enregistrés, il nous est possible de procéder directement vers la sortie.
Où le bus reliant l’aérogare avec le centre-ville nous attend (ce n’est pas une coïncidence : aux aéroports régionaux du Japon les horaires des bus sont coordonnés avec les horaires d’arrivée des avions).

Celui-ci est le seul moyen de transport public disponible. Sinon, c’est taxi ou voitures de location.
(Certaines destinations prisées offrent des taxis collectifs, en horaires réduits).
AXT est distant de presque 20 km de la gare d’Akita. Le trajet coute 950JPY et 40-50min.
La note accessibilité en souffrira.

On atteint le quartier animée de Kawabata 川反通り, au centre-ville.

Et quelques instants après, la gare d’Akita, point final de ce récit.

Le vol, en résumé



Merci de votre lecture et de vos commentaires.
Comme d’habitude, bons vols à tous et toutes.
Merci pour ce FR
Rien que la photo du train justifie à elle seule ton FR qui .... m'a permis de redécouvrir cet incroyable Kiha 32 connu sous le nom de " l'ogre" (The Oni)? Cette voiture diesel polyvalente pour les régions chaudes qui est apparue en 1987 a la particularité d'avoir été conçu sur le thème de l'amélioration des performances de conduite et de la réduction des coûts en utilisant des pièces de bus et des pièces de véhicules mises au rebut. Il y a usr la JR Shikoku un autre incroyable Kiha 32 que je vous laisse découvrir ici : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Fichier:JRshikoku_tetsudo_hobby_train_kiha32_3.jpg
Donc un grand merci pour ce préacheminement.
J'enrage à chaque fois ... j en le vois jamais.
Encore une découverte, merci !
Joli vol, très jolies photos, voilà un FR atypique bien plaisant à lire.
Merci pour la lecture et les gentils mots. Merci aussi pour les éclaircissements ferroviaires.
Je méconnaissais l’esprit écolo des petites rames Kiha !!! Si jamais la ligne était électrifiée...
Pour le Mt Fuji, je pense qu’il faut être patient. Et comprendre que le fait de se cacher fait partie de sa beauté (plus précieux, lorsqu’il se dévoile).
Merci encore et bons vols !
Merci ce FR passionnant à lire de bout en bout et qui ne manque pas de me rappeler mon voyage au Japon il y a quelques mois.
Belle prise, ce sieur est par ailleurs capricieux à se montrer.
Je confirme, pour m'y être justement attardé ! L'endroit est passionnant.
Je veux bien prendre l'adresse pour un prochain passage ;-)
La J Class est effectivement plus proche d'une W, mais quel confort pour un vol domestique, et - pour ce qui me concerne en tout cas - le surcoût était très faible par rapport à l'Eco. Pour les passionnés d'aviation, il y a vraiment de quoi faire avec les vols intérieurs japonais, qu'il s'agisse de l'aménagement intérieur ou des appareils utilisés.
Je l'ai essayé, sans pour autant en être vraiment convaincu...
C'était aussi le cas à Komatsu ; en même temps, c'est tellement logique. Quand je vois à TLN les horaires de bus qui restent fixent alors que les horaires de vol varient chaque jour, c'est ridicule. Du coup les bus sont vides la plupart du temps...
Un très beau vol géographique, plein d'explications comme je les aime.
Merci pour ce bonus, d'une région japonaise par forcément très connue.
A bientôt.
Merci pour prendre le temps de lire et commenter ce récit.
L’échoppe est à retrouver sur le niveau de départs de la Minami Wing (aile sud), avant sécurité.
Et elle s’appelle CUUD. (Plutôt petite, mais le turnover de clients est phénoménal).
Akita, comme beaucoup d’autres régions peu explorées du Japon, mérite une visite. A vrai dire, le Japon commence à retrouver à nouveau (post-covid) de graves problèmes de ‘surtourisme’. De ce fait, je ne vois plus l’intérêt d’explorer destinations célèbres.
(Mais je dis ça depuis une position privilégiée, vis-à-vis d’un visiteur qui doit parcourir des milliers de kilomètres avant de pouvoir explorer l’archipel japonais).
Bons vols et à bientôt !
Tout à fait d'accord avec ce point. Je me souviens en 2010, Fushimi Inari Tasha était un spot mais on pouvait vite se retrouver seul en grimpant un peu. Aujourd'hui, c'est devenu "Fushimi Inari Taishaland". Kyoto est victime de surtourisme et je comprends les locaux qui pestent contre les bus envahis de tourisme bruyants, le temple d'or, la foret de bambous, le temple sur pilotis, la promenade des philosophe etc ... c'est le métro à 18:00.
Ayant eu la chance de connaître le Japon à une époque où, destination assez hors de prix, il y avait peu de touristes, je vois la différence. D'un autre coté, pour ceux qui connaissent déjà, il y a plein d'endroits, même dans les spots les plus touristiques, qui sont à l'abri des touristes qui n'ont simplement pas le temps de tout voir ... et tout l'art est de savoir ne pas partager ces endroits sur Instagram pour éviter de les voir submergés.
Et puis il y a ce Japon, comme Akita, inconnu des touristes étrangers qui sont propice à ce que j'aime ... aller lentement, en train par exemple. Mon prochain voyage (pro) sera aussi l'occasion de tester le nouveau Tobu Spacia X (aller) et Revalty (retour) et si possible le JR Sapphir Odoriko sur deux destinations hors des sentiers touristiques.
Merci pour ton récit. Les sièges avant ont quand même de l'allure pour un monocouloir. Service léger mais le vol est court et le professionnalisme des PNC est au rendez vous. Bonus très interessant avec de jolis paysages naturels.
Merci pour ton commentaire.
La ‘J Class’ est vendue au préalable à des prix onéreux (mon avis), mais il est possible de tenter un surclassement aux comptoirs de l’aéroport. Si validé, 2.000JPY ou 3.000JPY suffiront pour profiter de ce siège plus spacieux (le service est le même qu’en Y).
Professionnalisme est un mot juste pour décrire l’attitude coutumière des JALenettes.
Bons vols et à bientôt.
Merci beaucoup pour ce superbe FR : sur un vol aussi court, le Japon sait bien dévoiler ses beautés. A bord, expérience très ... japonaise, pour le meilleur!
Merci pour la lecture et le sympathique commentaire.
Le vol fut vraiment court, mais les vues, la collation, le Wi-Fi gratuit, le confort du siège et les délicatesses du service suffirent pour remplir le baromètre de contentement.
A bientôt.
Merci pour ce FR qui nous plonge dans un autre univers.
L'expérience de vol est excellente pour un vol très court mais on prend le temps d'en apprendre sur les endroits survolés.
Le bonus prolonge admirablement le vol.
A bientôt.
Merci, Michel, pour le commentaire.
Ça fait plaisir de lire que ce récit sert pour explorer de nouveaux univers ! 1 heure de plaisir aéronautique et géographique, précédant quatre jours de découverte et détente.
Voyager, c’est chic !
Merci encore et bons vols.