Suite et fin de ce routing égyptien. Après les vols intérieurs avec Egyptair, on revient à du plus classique, avec le vol retour pour Paris avec AF. Outre le vol direct, l'intérêt principal réside dans le 777 qui opère cette liaison. L'inconvénient reste l'horaire en mode red-eyes, puisque le vol part à 2h20 du matin et arrive vers 6h à Paris. Parfait pour aller travailler directement mais pas vraiment pour se reposer…
Le routing complet de ce périple en Haute-Egypte pour ceux qui voudraient rattraper leur retard de lecture :
Flight routing
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Départ de CAI
Je vous avais laissés à la sortie de notre vol MS en provenance d'Assouan. En dépit du retard, nous sommes larges, mais n'ayant pas fait de correspondance à CAI depuis 15 ans, je ne connais pas le cheminement.
Un peu benoîtement, nous suivons la direction des correspondances.


Sauf qu'en fait, non. Nous tombons sur un poste PAF qui nous demande nos BP. Je réponds que nous ne les avons pas (l'enregistrement en ligne ne permet pas de les récupérer sur l'application) et nous réalisons alors que nous sommes au T3, dédié aux vols LC Egyptair. Il nous faut donc ressortir du T3 et rejoindre le T2, d'où part AF.
Dommage, ce terminal semblait moderne.

Il n'y a bien sûr aucune indication et nous devons demander notre chemin.

Le trajet se fait à pied, sous les autoponts.

Nous voici arrivés au T2, ce n'est pas bien long.

Il nous faut remonter au niveau des départs. Là encore c'est très mal indiqué, nous emprutons une porte, qui nous conduit à un poste de contrôle, avant d'arriver à un nouveau poste de contrôle à l'étage. Comme toujours les policiers égyptiens sont très tatillons et demandent à voir passeports et preuves de voyage pour pouvoir entrer dans l'aérogare.
Mine de rien, entre la promenade extérieure et les contrôles, nous mettrons plus de 20 minutes pour arriver aux comptoirs AF. Que voici. Grâce à son chapeau, je ne risque pas de perdre Madame, qui fend la foule avec détermination.

Il y a du monde, comme vous pouvez le voir. Fort heureusement, la file SkyPriority est vide.

Nous récupérons simplement nos BP, n'ayant pas de bagage à enregistrer. L'agent me propose toutefois un upgrade mais celui-ci est à un tarif bien trop élevé en business, d'autant qu'ayant consulté le plan de cabine au préalable, je sais que nous avons une configuration COI à l'ancienne en bon vieux NEV4 (eh oui, il y en a encore…). Le tarif est plus tentant en Premium Eco, mais il ne reste plus de duo au hublot, donc sans intérêt.
Nous avons eu de la chance, juste après notre passage, une flopée de passagers s'est engouffrée dans la file SkyPriority.

Direction l'étage, avec le contrôle des passeports. Je prends une photo discrète, les policiers égyptiens ne sont pas des marrants là-dessus ; juste pour vous montrer l'absence totale d'affluence. Bien pratique, des mange-debout sont disposés avant les files pour remplir les fiches d'émigration.

Ce sont les mêmes que celles remises à l'arrivée et c'est à cause d'elles qu'il a fallu passer au comptoir de check-in pour récupérer les BP. On se demande bien ce qu'il advient de toute cette paperasse…

Pas de file prioritaire hormis pour les passagers *A.

Mais comme je le disais il n'y a personne et c'est une formalité vite remplie (notons qu'un second contrôle des passeports est effectuée juste après la PAF).

Une fois le PIF passé, avec une file pour les hommes et une pour les femmes (ne me demandez pas ce font les non-binaires…).

Le Ahlein premium lounge
L'entrée du lounge est située juste à droite après le PIF, pas besoin de cavaler très loin. Notons tout de même que tous ces contrôles nous auront pris 20 minutes depuis le comptoir d'enregistrement, alors même que l'affluence était pratiquement nulle.

L'accueil est aimable par la cerbérine, qui vérifie notre éligibilité. C'est une bonne chose, il n'y a plus de mini-PIF comme avant.
La configuration de ce salon est étrange, avec des salles préalables.

Il faut passer portes et couloirs pour arriver dans un vestibule où se trouve l'entrée du salon Ahlein.

J'avais découvert ce tout nouveau salon fin 2019 lors de mon précédent séjour en Egypte. C'est un grand pas en avant comparé à ce qu'il y avait préalablement.
Notre éligibilité est à nouveau validée à l'entrée du salon. Quelques maquettes sont présentes sur le comptoir (je n'ai pas pensé à leur dire qu'ils pouvaient enlever le fanion d'Alitalia).

Le salon n'est pas encore trop rempli. Celui-ci n'est pas très grand mais suffisant pour la fréquentation.

Plusieurs espaces sont privatisables, comme ce salon.

Il y a même une zone au calme avec des fauteuils massants.

Allons voir la restauration.

Au moins, il y a du choix.



Les mezze seront réapprivisionnés régulièrement.

Le personnel est nombreux mais un peu nonchalant et moins dynamique que lors de mon dernier passage.
Le point faible reste les boissons : pas d'alcool, pas même une petite binouze égyptienne à siroter. Je teste ce breuvage en me disant que ça doit ressembler au Schweppes Agrumes, mais pas du tout. Le goût est aussi chimique que la couleur le laisse supposer.

Notre choix pour le dîner de ce soir.

Une fois ces agapes terminées, nous retournons dans la zone salon en attendant l'embarquement du vol. Nous voulions prendre une douche avant le vol, mais celles-ci étaient en dérangement. A noter dans les toilettes un personnel (trop) prévenant, qui vous regarde faire ce que vous avez à faire et vous attend avec une serviette pour vous essuyer les mains dans l'espoir d'avoir un bakshish.
Avant de quitter ce salon qui offre le minimum minimorum, n'oublions pas le document de voyage. A la lecture du numéro de siège, vous aurez compris que nous ne voyagerons pas en business ce soir !

Le FIDS de la soirée.

L'horaire du vol AF est moins pire que celui d'AZ (souvenir de 2019…)

L'embarquement
Peu après 1h du matin, nous quittons le salon pour rejoindre notre porte d'embarquement. L'endroit s'était bien rempli (notamment avec de nombreux passagers AF) et était devenu passablement bruyant, notamment avec un groupe de retraités français qui parlaient comme s'ils avait été seuls.
Traversée incontournable du dutyfree qui lui est sans intérêt.

Nous avons un peu de marche pour rejoindre notre porte d'embarquement. Un agent du salon nous avait proposé un accompagnement en buggy, mais nous ne sommes pas encore assez grabataires pour débourser la coquette somme exigée.


Nous arrivons à notre gros pépère de ce soir.

Et ça en fait, du monde, qui attend d'embarquer dans un 777. AF réussit à remplir un avion de 380 sièges, quand la concurrence se contente d'Airbus A320…

Pour l'instant, c'est le calme plat en porte, alors que l'embarquement est censé démarrer dans 10 minutes.

A 1h20, les agents se réveillent et commencent à organiser l'embarquement par zone. De nombreux passagers ne comprennent pas la notion de zone, c'est le bazar.

Une file longue comme un jour sans pain se forme pour la zone 4.

Les tensoguides arrivent au compte-goutte pour organiser tout ça. Ce n'est pas comme si ça avait pu être organisé plus tôt…

Après le long embarquement des PMR et familles avec enfants, c'est le tour des zone 1. Puis c'est à nous.

Notre 77W de ce soir, F-GSQE. Celui-ci est configuré en 42J 24W 315Y.

Pour nous, ce sera à droite.

Nous y sommes presque.

Le fuselage shot ne rend pas très bien ce soir.

à bord
Nous tournons à droite en entrant. Le passage par la seconde cabine business confirme qu'Air France dispose encore de vieilles cabines NEV4. Quand on sait le tarif d'un CDG-CAI en J, on se demande comment la compagnie arrive à remplir cette cabine, mais manifestement ça marche, donc pourquoi s'en priver ?

A l'arrière, 3 rangs de Premium Eco, puis on arrive dans la bétaillère.

Les sièges font anciens, avec l'avantage d'être bien épais.

Traversée de la seconde cabine Y.

Nous arrivons dans la troisième et dernière cabine Y. Les sièges en issue de secours sont tentants, mais il faut noter l'absence de hublot.

Pour notre part, forts de notre mauvaise expérience entre YUL et CDG en octobre et convaincus par notre vol aller, nous avons pris un duo de sièges dans les dernières rangées. Pour ne pas être trop près du galley, nous avons pris le premier rang en duo, le 50A et le 50B.

L'avantage d'embarquer en priorité, c'est que la cabine est encore tranquille et que nous pouvons nous installer tranquillement.

J'avise une PNC qui sort du galley. Pour engager la conversation avec elle, je la salue et lui dis que ça fait toujours plaisir de prendre un 777, même si c'est avec une ancienne cabine. Mauvaise pioche, bien que jeune elle ne semble pas bien disposée et me répond sèchement qu'elle ne voit pas ce que je veux dire. Je lui réponds qu'il existe des cabines tout de même plus récentes. Réponse sans appel : "je n'en sais rien (sic), le plus important c'est d'arriver en toute sécurité". Oulala ! Monique is back ! Bon, je sens que les interactions vont être limitées et je n'insiste pas…
Pourtant, ça se voit que cette cabine n'est pas toute jeune, non ? Cet écran et sa télécommande semblent sortis tout droit des années 2000.

Avec l'épaisseur qui va avec.

Avec l'IFE qui va avec…

Avec la tablette qui va avec…

Le pitch n'est pas dingue, mais je ne pense pas qu'il soit moindre que sur les versions plus modernes.

L'embarquement se poursuit, mais comme à l'aller je note que les passagers ne sont pas très disciplinés avec leurs bagages : des coffres entiers sont remplis de sacs qui auraient pu aller dans les jambes et les PNC galèrent pour faire entrer les bagages des derniers passagers.

Bonne nouvelle, nous pouvons partir plus tôt que prévu. Le commandant de bord prend la parole pour nous souhaiter la bienvenue et nous pouvons repousser à 2h10. Les consignes de sécurité sont lancées.

Je profite du décollage avec des vues nocturnes sur le Caire, puis nous basculons en mode dodo, vue l'heure tardive.
Nous nous réveillons pour le service vers 4h30 (heure française), après seulement 2 heures de vol. En effet nous avons eu des vents favorables et notre 777 a bien cravaché. En revanche, c'est très court pour une nuit avant de reprendre le travail, mais c'est l'inconvénient des vols retours du Caire.

Nous sommes déjà au-dessus de l'Italie, donc difficile de démarrer le service plus tard.

Il reste une heure avant l'atterrissage.

Il y a une option sucrée ou salée pour le plateau, déposé tel que voici. La CC revêche qui officie dans notre rangée restera distante pendant le service, mais les jeunes PNC seront souriants et avenants.

Voici les crêpes chaudes, qui étaient bonnes.

Encore et toujours ces satanés couverts en bois.

Nous arrivons en vue de la région parisienne, l'atterrissage est désormais proche.

Nous voici arrivés à bon port.

Les lumières du 2E-K, qui se réveille doucement.

Nous irons nous garer au contact du 2E-L.

Nous aurons pour voisin ce 777 d'AF. Nous arrivons au bloc avec 10 bonnes minutes d'avance, celles-ci ne seront pas de trop quand on sait l'affluence aux contrôles à CDG de bonne heure.

Le roulage sera assez long. Inévitable instant Danette.

Etant au rang 50, nous débarquons logiquement parmi les derniers.

Salutations aimables de l'équipage et débarquement par la seconde passerelle.

La vue sur notre appareil ne sera pas fameuse, coincée entre les deux jetbridges.

Il y a déjà du monde pour les passagers en correspondance qui doivent repasser un PIF.

Après un rapide trajet en LISA, nous arrivons au terminal K pour passer les contrôles. Nous nous hâtons, mais fort heureusement la file SkyPriority est vide.

A gauche aussi c'est blindé.

Enfin vide, c'est vite dit, ça bouchonne rapidement. Il faut dire qu'il n'y a qu'un seul poste PAF ouvert. Vous noterez qu'à droite les files pour les parafes sont totalement vides alors que pour une fois ils sont tous opérationnels. Encore un non-sens que seul CDG arrive à réaliser.

Ni une ni deux, nous passons sous les tenso-guides et nous nous présentons aux parafes. Après un premier bip rouge ("vous avez un passeport européen ? veuillez emprunter cet autre portique"), nous passons landside en quelques instants. Seulement 20 minutes après être sortis de l'avion, ce n'est pas mal, mais les autres passagers qui n'ont pas pris l'initiative d'emprunter la file vide des parafes n'ont pas dû en dire autant.

Nous n'avons pas de bagage à récupérer et quelques minutes plus tard nous voici dans une rame du RER B (pour une fois ça marche), direction Paris et le boulot…

L’expérience au sol me rappelle exactement la mienne (mis à part les problèmes au check in de Qatar Airways). Pareil pour le lounge qui est un peu bizarre avec ce “pré-salon”.
C’est sûr que l’horaire est difficile, surtout quand on doit travailler au retour, mais il est quand même un peu plus confortable de rentrer sur ces cabines que sur un A320.
Le petit déjeuner est complet et c'est appréciable d'avoir une option sucrée et une salée (probablement une omelette).
Merci pour ce Fr
Merci Moritz pour le commentaire.
J'ai bien en tête ton transit à CAI avec QR, c'était vraiment la galère !
Le 777 apporte bien plus de confort, c'est certain, mais 2 heures de sommeil, ça reste court pour se reposer...
A bientôt.
Merci pour ce FR.
Une expérience pas si catastrophique que ça à CAI quand on contextualise le vol. Il faut bien rester dans l'ambiance locale.
Le salon est une annexe de Alcooliques Anonymes.^^
Une PNCette charmante agrémente le vol à bord d'une cabine de collection.^^
Le catering n'est pas si mal que ça si on compare avec des vols de durée similaire à bord de monocouloirs.
Evidemment les horaires cassent un peu le charme.
A bientôt !
Merci Franck pour le commentaire.
Dans l'ensemble c'est une prestation correcte, même à CAI, à défaut d'envoyer du rêve.
Effectivement, bénéficier d'un 777 (et du catering qui va avec) est un réel plus comparé aux autres compagnies européennes qui alignent des A320 ou des B737.
Quant aux horaires... ^^
A bientôt !
Hello, merci pour le FR !
Le nombre de contrôles à CAI n'a d'égal que le nombre d'agents en quête d'un pourboire visiblement ^^
Sinon, à part ces deux éléments, ça reste "pas si mal" pour cet aéroport.
Le salon est plutôt sympathique, malgré l'absence d'alcool...
Merci pour la confirmation que ce Schweppes est immonde, mes collègues tunisiennes passent leur temps à me dire que c'est un délice que je devrais goûter quand je viendrai, mais rien qu'à la couleur ça semble imbuvable :P
Je ne savais pas qu'il restait encore de ces vieilles cabines sur les 777 d'AF, c'est vraiment, vraiment trop daté... Ca va encore que ça reste sur un vol globalement court, mais AF prend vraiment son temps pour rénover les cabines...
L'horaire du vol est vraiment rude, je pense que j'aurais fait l'impasse sur le repas perso ^^
A bientôt :)
Merci Robin pour le commentaire !
Je te confirme : le Schweppes orange (on parle de la couleur, mais du produit d'origine) est ignoble...
J'étais surpris aussi de découvrir une vieille cabine. Ce n'est pas trop gênant, sauf pour ceux qui ont payé 2000 € en J pour un NEV4 hors d'âge ^^
A bientôt.
Merci de ce récit Stéphane ! cabine vintage et cc revêche : le petit dej n'est en revanche pas mal et complet.
Merci Christophe.
Oui, bon petit déjeuner, d'autant que d'habitude ce n'est pas trop mon truc.
A bientôt.
Merci pour ce FR et l'ensemble de ce routing.
Bonus (des précédents) très intéressants
Ces places sont effectivement très bien, protégées par une rangée de 3. J'avais eu l'occasion de les tester lors d'un CDG-BKK
A bientôt !
Merci pour le commentaire.
Tant mieux si les bonus ont plu ;-)
50A / B: si je dois revoyager en Y, ce seront désormais ces sièges que je prendrai !
Merci Stéphane pour le FR.
Un horaire qui pique, embarquement chaotique à bord d'une cabine old style et avec une Monique. Bon ben là tu les cumules......Le petit dej est sympa mais les couverts en bois j'ai du mal.
A bientôt.
Merci pour le commentaire.
Pour les couverts, je crois qu'on va les avoir un bon moment...
Merci Stéphane pour le partage !
Je vois que CAI est toujours aussi mal foutu pour les correspondances, le salon ne casse pas trois pattes à un canard et la demande du baksisch reste bien répandue (j'ai eu peur avec la serviette, mais c'est bien pour les mains et non pour la dernière petite goutte ^^)
A bord, les Moniques sont toujours là, ça fait le charme d'Air France, dirons nous. Avec un pdj plus que correct, pas grand chose à reprocher à ce plateau.
A l'arrivée, Paris vous aime, faut il encore savoir comment se faire aimer ^^
A bientôt !
Merci Stephan.
Le salon est bien moins pire que ce qu'il y avait avant, donc ne nous plaignons pas trop. Je te confirme que la serviette était bien pour les mains !!!!
Les Monique ne sont plus si fréquentes (surtout en J), c'est d'autant plus surprenant de tomber sur l'une d'elles.
Ah, Paris nous aime, quel slogan...
A bientôt.
Cinq heures en l'air dans un gros-porteur, voilà un vol prometteur.
Malheureusement, toujours des horaires impossibles mais comment faire de cette région du monde sinon faire le vol de jour.
Une de mes connaissances de retour d'Egypte m'avait en effet parlé des ces bakchichs à tout bout de champ et ça avait fini par le lasser.
Heureusement que le pays regorge de beautés antiques mais ça ne fait pas forcément oublier ce type de désagrément
" Quand on sait le tarif d'un CDG-CAI en J, on se demande comment la compagnie arrive à remplir cette cabine,"=> tu l'as dit toi-même, la concurrence européenne aligne des monocouloirs sur cette destination. C'est soit le NEV4, soit le NEK.
"Pour engager la conversation avec elle, je la salue et lui dis que ça fait toujours plaisir de prendre un 777,"=> tu aurais dû dire le mot magique: GP (LOL)
Encore et toujours le même problème à CDG. Je me demande si ce n'est pas mieux de passer par une escale européenne pour ensuite enfiler sur un vol Schengen...
Ces désagréments à l'arrivée finissent par être très désagréables.
Merci pour ce report, Stéphane
Merci l'ami pour le commentaire !
Encore faudrait-il qu'il y en ait ! A ma connaissance pas de vol de jour pour rentrer en Europe (et c'est ainsi depuis que je vais en Egypte depuis plus de 20 ans).
Les bakshish font partie de la culture égyptienne. Ils sont parfois justifiés, parfois non. Dans un salon d'aéroport, en revanche, on s'attend aux normes internationales, donc là non, ce n'est pas le lieu pour ça.
Sur le remplissage de la J, j'ai aussi mon idée, la bourgeoisie égyptienne étant très fan de la France et donc d'Air France, elle n'a pas de scrupule à dépasser 2000 € dans un billet.
Pour être crédible, il aurait fallu que je reste à discuter au galley avec un sourire béat et figé aux lèvres...
Je dirais que les désagréments sont rarement agréables, mais en l'occurrence, une correspondance peut les atténuer (encore qu'il faille passer PAF + PIF également).
A bientôt !
Re Stéphane,
Erreur de bonne foi que de suivre les indications de transfert.
Qui plus est quand aucune autre information utile ne vient aider à se repérer.
La première impression n'est pas des meilleures.
L'heure avancée ne semble pas influencer la fréquentation de l'aéroport, aux abords des comptoirs d'enregistrement à tout le moins!
Je pourrais digresser pendant des heures sur les files du PIF...
Si l'équipement du salon semble agréable, tout autant que l'offre solide, c'est un peu dommage qui soit 100% dry... tu vois, tu aurais du la boire à Aswan cette bière!
mais à la lecture de la mention PDST sur le même boarding pass, on sait que ces sièges, sont considérés sont "plus" et payants par AF :)
Je ne peux plus la voir en peinture (ou en photo) cette J! Le reste de l'appareil et des aménagements cabine fait également son âge!
Mauvaise pioche pour la loterie des PNC.
A l'arrivée, on retrouve la "french touch" qui nous aime et le RER qui te le rend bien...
A bientôt pour de nouvelles aventures :)
Merci Mathieu.
CAI n'envoie pas du rêve, que ce soit landside, airside ou en matière de salon.
J'ai pensé à toi en l'écrivant ^^
On ira la boire ensemble.
Tu viens de m'apprendre la signification de cette mention (PayeD SeaT je suppose).
Les prochaines aventures démarrent demain ;-)