Review of Air Canada flight from Calgary to Vancouver in Economy

Bonjour à toutes et tous.

Je vous retrouve donc à Calgary pour mon retour vers Vancouver.

Un « petit » détour, histoire de profiter un peu de mon séjour canadien pour diversifier mon flight book en terme de compagnie.

Alors Air Canada, ce n’est pas nouveau pour moi, mais pour mes statistiques Flight Report, oui.

Le deuxième point intéressant c’est de voler sur un B737max8. Ce n’est pas non plus mon premier vol avec mais c’était avant son arrêt brutal.

Voilà ma petite introduction à ce dernier vol intérieur « made in Canada ».

Aéroport international de Calgary

Je reprends donc à mon arrivée à YYC.

Premier réflexe : consulter le FIDS pour savoir si je dois changer de terminal.

Le classement est fait par nom de ville.
Le vol AC225 est en porte C56, c’est-à-dire juste à côté.

Du coup j’ai du temps à tuer.

Bon ce n’est pas aussi sympathique qu’à Victoria ou Vancouver.

C’est bas de plafond et un peu froid niveau matériaux.
Mais au final ce n’est pas trop grave, ce n’est qu’un jugement esthétique.

Amusons-nous avec un peu de spotting.

Westjet en B737.

Du dash8.

La feuille d’érable d’AC.

Bon, petite confidence, c’est celui-ci qui me fait craquer, mais bon il s’en va vers Toronto. Peut-être une autre fois.

Voilà un distributeur qui plairait énormément à ma nièce qui est fan des produits Benefit.

Ici c’est bien plus vide.

Une livrée Disney chez Westjet.

Au sol, il y a par contre une décoration originale (qui change de la moquette nord américaine).

Santé à tous les FRistes.

Trouver une place près de ma porte va s’avérer un peu compliqué.

Un groupe d’indien sikh d’un très grand âge va prendre beaucoup de temps à embarquer car cela demande pas mal de personnel d’assistance.

Puis c’est par zone.

J’embarque lorsque c’est mon tour.

a bord du vol ac225 direction vancouver

Passage par la classe affaires, en voici le siège.

Pour moi c’est tout au fond.

Cette fois ci j’ai un hublot, ce qui sur un vol de nuit n’est pas forcément utile, mais cela permet au moins de regarder ce qu’il se passe à l’extérieur.

Voici mon siège avec les mains du petit diable qui sera derrière moi.

Il donnera des coups dans le siège, jusqu’à ce que je me retourne et fasse les gros yeux devant ses parents.

Ce sera plus calme après.

La carte de sécu qui finira chez un cheminot.

Ce type d’avion peut effectuer des vols assez longs et est donc pourvu d’un d’IFE digne d’un LC.

Dehors la météo a complètement changé, avec d’abord de la pluie, puis de la neige.

Petite présentation des prises.

La moquette est propre et sobre.

Les sièges sont confortables.

Et les racks à valises suffisamment grands pour y mettre des larges valises cabines.

Mes voisins arrivent, je me concentre donc un peu sur l’IFE.

Un PNC distribue le kit sanitaire.

Le PSU.

Mon bonheur : la géovision.

Du coup les consignes sont faites via vidéo.

Et avec plein d’humour.

Ca y est nous partons.

Oui mais pas très loin finalement car on nous annonce que nous devons passer au dégivrage.

Il y a plusieurs postes mais tous occupés.

On se place derrière une saucisse canadienne.

Et cela prendra beaucoup de temps avant que nous ne puissions avancer et passer sous le glycol.

Finalement nous décollerons avec une heure de retard.

La montée se fait dans les nuages.

En dessous c’est Calgary.

Mood lighting bleu durant la montée.

Visiblement certains « papys » indiens ne peuvent plus attendre et c’est la course aux toilettes sous les appels de l’équipage de devoir rester assis.
Mais bon sans aucun effet. Peut-être des passagers sourds.

Chouette la collation arrive.
Sans surprise ce sont des Pretzels, (ce n’est pas moi qui va m’en plaindre)^^

Je demande un jus de pomme, et c’est une briquette qui m’est donnée.
Ce qui est pratique à emmener.

De jour le vol doit être sympa d’après l’IFE.

La descente arrive, j’aime ces paysages urbains de nuit.

Aéroport international de Vancouver

Atterrissage en douceur.

Nous perdons encore un peu de temps à rouler vers notre porte.

Cette rotonde me rappelle quelque chose.

Certaines correspondances sont tendues, et ces passagers-là sont invités à débarquer en premier.

Du coup je sors bien après.

La passerelle.

Cela s’élargit.

Enfin je peux voir mon destrier du jour, ce masque noir lui donne une bouille sympa.

La sortie c’est par ici.

On ne peut pas dire qu’il manque de chariots pour les valises.

Encore des décorations des premières nations.

Il est finalement tard, je décide de ne pas prendre le train pour rejoindre mon hôtel, mais d’opter pour un taxi.

Je trouve l’arrêt, mais aucune voiture n’est là.
D’autres passagers arrivent et s’étonnent de l’absence de voiture.

Un agent nous indique qu’il faut attendre.

Ce que je ferai durant 15 minutes.

Puis plusieurs taxis arrivent en même temps.

Je monte à bord et me voici en route pour un prix très raisonnable de 32$ vers mon lieu de résidence au début du quartier de Gastown, qui est le centre « historique » de Vancouver avec son architecture victorienne, c’est d’ailleurs pour résider dans une belle maison victorienne que j’ai fait ce choix.
Mon chauffeur me fera la causette durant le trajet, ce qui est toujours amusant.

Merci pour la lecture et les commentaires, place au bonus.

bonus