Review of Air France flight from Paris to Tunis in Economy

Bonjour à tous,

Je vous retrouve pour un habituel aller/retour vers Tunis pour les fêtes de fin d'année.
Mon choix se porte encore une fois sur Air France, qui a selon moi l'avantage de proposer de bons horaires et une meilleure ponctualité que les autres compagnies sur cette ligne (TU, TO, BJ).

Pour redonner un peu de contexte, ce voyage a lieu le Samedi 21 Décembre, soit le samedi de grand départ en vacances. Les tarifs à ces dates vers TUN sont souvent prohibitifs, mais en bookant ce vol bien à l'avance (environ 7 mois), j'ai pu limiter la casse.

Ce jour-là, viennent aussi s'ajouter les grèves dans les transports qui rendent l'acheminement vers CDG assez complexe.
J'essaye d'organiser un taxi groupé avec d'autres étudiants de ma classe qui partent aussi de CDG ce samedi. Bien sûr, aucune disponibilité pour réserver un taxi 24h à l'avance.

 Je me retourne donc vers le Bus Direct que je juge être la solution la plus sûre.
Quelques semaines avant ce vol, je me rends compte qu'un de mes très bons amis effectuant un BOS-CDG-TUN sur DL/AF partant le 20 Décembre se retrouve dans le même vol que moi pour le CDG-TUN le 21. Super nouvelle, d'autant plus que mon ami a le bon goût d'être Delta Platinium et aura donc le droit à un invité au salon.

À L'aéroport

C'est bien avant l'heure de départ théorique de mon vol que je me retrouve dans le Bus Direct, à la fois pour pallier les éventuels problèmes d'acheminement liés aux grèves, et aussi pour avoir le temps de passer un peu de temps avec mon ami au salon.

 Passage par le Terminal 1, ça bouchonne.

À l'approche du terminal 2, pour une raison inconnue, notre conducteur nous annonce qu'il ne s'arrêtera pas aux terminaux 2E-F et demande donc aux passagers de descendre à l'arrêt des terminaux 2C-D.

Mais en essayant de rejoindre le 2E depuis le 2C, je tombe nez à nez avec un barrage de police qui venait de se former devant moi, synonyme de bagage abandonné.

Étant donnée l'affluence, l'attente était vraiment très lourde entre les passagers pressés et les non-francophones qui, ne comprenant pas ce qu'il se passait, se faisaient refoulés en essayant de rejoindre le 2E par la portion de route que l'on voit à gauche sur la photo.

15 longues minutes plus tard, nous sommes libérés. Sur mon trajet allongé du 2C au 2E, j'ai quand même la chance de pouvoir immortaliser cet A380 d'Emirates sur lequel une autre amie venait d'embarquer pour Dubaï. Une belle coïncidence que cet A380 occupe cette porte qui est la plus exposée à la passerelle 2C-E.

Arrivée non sans mal au 2E.

Je n'ai pas beaucoup de souvenirs de mon passage à l'enregistrement et à la PAF pour ce vol, je sais néanmoins que 30 minutes séparent la photo suivante (prise devant le LISA) de la précédente (ce qui vous donne une idée de la fluidité du parcours).

Mon vol pour TUN part donc des portes L, comme souvent.
Traditionnelle vue du Hall K sous les nuages bas depuis le LISA.

Passage sans histoire du PIF. Je n'ai pas le temps pour du spotting, mon ami arrivé de BOS tôt dans la matinée m'attend au salon.

Contrairement à mon précédent passage, cette fois-ci l'accueil au salon sera très cordial et sans accroc. Mon ami avait prévenu qu'il attendait un invité qui arriverait plus tard.

Rien à signaler au salon, qui est suffisamment bien connu sur FR, si ce n'est l'affluence très importante. On réussira ceci-dit à réserver deux créneaux pour le soin Clarins avant le départ de notre vol.

embarquement

L'embarquement de notre vol débute bien à l'heure et on se dirige donc en porte.

Embarquement Sky Priority sans trop d'embouteillages en passerelle. 

Joon en arrière-plan ; livrée toujours présente à CDG malgré la disparition de la marque.

à bord

Accueil aimable en porte, notre A319 du jour sera évidemment complet.
En postant cette photo, je me rends compte de l'absence du rideau de séparation entre la J et la Y que je n'avais pas remarquée en prenant le vol. Peut-être que j'avais déjà passé le rideau et que les têtières n'avaient pas été changées ? Dans tous les cas, il y a quelque chose qui cloche.

Arrivé au 20F, avec une vue sur notre voisin qui ne revolera malheureusement plus.

Un 77W débute son taxi derrière alors que chez nous l'activité se poursuit en soute.

On repoussera finalement juste après le BE avec un peu moins de 30 minutes de retard sur notre horaire théorique.

Alignement en piste 26R et décollage alors qu'on aperçoit la traditionnelle brochette de gros porteurs AF parqués aux portes M.

Le temps est couvert et le sera pendant la grande majorité de la croisière.

Le service débute plutôt rapidement, je suis servi la prestation solide 30 minutes après le décollage. Le liquide arrivera dans la foulée.

C'est sur ce vol que je remarquerai pour la première fois l'utilisation des nouveaux gobelets "AF Takes Care" plus respectueux de l'environnement.

Prestation complète avec le contenu du sac entièrement sorti.
Aujourd'hui ce sera fraise pour le jus, tomate et mozzarella pour le sandwich. Ce n'était pas mauvais, mais la quantité de plastique à l'intérieur du sac est complètement discordante à côté du gobelet "AF Takes Care".

Le reste du vol se déroule normalement et nous sommes déjà en finale pour la piste 19 de TUN, au-dessus de la sebkha de l'Ariana.

 Une belle vue au coucher de soleil.

On rattrapera presque notre retard en posant les roues quelques minutes après notre heure théorique d'arrivée.
Roulage rapide et débarquement par jet bridge.

Mes tentatives d'immortalisation de notre appareil du jour se heurtent aux mesures anti-spotting prises par TUN.
Il y a encore peu de temps ces stickers n'étaient pas présents. Ce genre de mesures m'étonnera toujours, qui plus est dans un aéroport où d'autres sujets plus importants mériteraient une telle attention. 

à l'arrivée

Drapeau tunisien qui signifie qu'on approche la PAF tunisienne.

Merci de m'avoir lu et à très bientôt !