Review of Lufthansa flight from Paris to Frankfurt in Economy

Bonjour,
Ce FR présente un vol effectué à titre professionnel entre Paris et Francfort en décembre 2015.
Ce fut, pour moi, l'occasion de tester cette compagnie sur un vol intra-européen. J'ai pu découvrir un ancien B737 ainsi que le lounge Lufhtansa du Terminal 1 de Paris : au final, je n'était pas au bout de mes surprises…
Arrivée sur le terminal 1 de Roissy Charles de Gaulle

Repérage des écrans et des prochains vols pour trouver la zone d’enregistrement de Lufthansa

Arrivée devant les comptoirs Lufthansa du Terminal 1 à CDG

Accès au comptoir d'enregistrement Lufthansa

Etant très en avance pour mon vol, je demande à changer mon vol (mon billet a été acheté en ECO FLEX) et à pouvoir embarquer sur le vol d'avant.
Le personnel au sol m'indique que c'est possible, mais il n'arrive pas à faire la manipulation sur son écran.
Le système ne fonctionne pas. Il m'invite à aller au lounge dans le satellite Lufthansa du terminal 1 et me dit qu'il va, pendant ce temps, prévenir sa collègue du lounge pour qu'elle effectue ce changement pour moi.
Direction la zone d'embarquement par les passerelles du terminal 1 de CDG

Accès à la zone d'embarquement central du terminal et direction vers le satellite Lufthansa

Couloir d'accès souterrain au satellite

Arrivée dans l'entrée du satellite desservant les Portes 60-68

Après passage des contrôles de sécurité, entrée dans le satellite rénové par ADP (plutôt réussi)

Direction le lounge Lufhtansa : je voyage en éco mais étant Elite Gold sur Singapore Airlines, je bénéfice de l'accès aux salons Star Alliance

Le salon est situé au sous-sol du satellite. Il est accessible par un couloir puis un ascenseur : pas très glamour. On a l'impression d'emprunter des couloirs techniques.
Entrée du lounge Lufthansa Business et Senator

Je demande à l'hotesse d'accueil du lounge si elle a eu un appel de son collègue à l'enregistrement me concernant.
Apparemment, elle n'est pas au courant. Je lui explique mon souhait de partir sur le vol d'avant, vu que je suis largement en avance. Elle m'indique qu'elle va regarder cela. Et m'invite à patienter dans le lounge. Elle viendra me voir dès qu'elle a pu s'en occuper. Pour le moment, elle est occupé à décorer le sapin de Noël avec ses deux autres collègues.
Premier coup d'oeil à l'entrée sur le lounge : situé au sous sol, il ne possède aucune lumière naturelle. Il est donc éclairé aux néons, ce qui ne flatte pas du tout sa présentation. Et on ne peut pas dire que sa déco à base de gris aide vraiment. C'est très austère et froid. L'atmosphère est sans chaleur humaine ni décorative.

Petit tour près du buffet, plutot bien achalandé. Rien de révolutionnaire, mais le minimum vital est présent.

Passage pour une pause technique aux toilettes (auxquelles on accède en ressortant du lounge : ce qui n'est pas super pratique) que je trouve plutôt bien décorées et modernes. On a l'impression qu'elles ont fait l'objet d'une rénovation récente alors que le reste du lounge est resté dans une déco ancienne.

Design du comptoir près du buffet, zone plutôt agréable avec prises électriques et tabourets hauts

Après une vingtaine de minutes, l'hôtesse du lounge n'est toujours pas revenu me voir.
Je décide de retourner la voir au comptoir d'accueil du lounge. Elle me dit qu'elle m'avait complétement oublié et qu'elle va à nouveau regarder mon dossier. Je retourne patienter au lounge…
Après 20 minutes, elle vient me voir et m'indique que malgré mon billet ECO FLEX, si je veux modifier mon vol, je dois payer un supplément pour embarquer sur le vol d'avant.
Je me demande ce que le mot FLEX veut bien dire dans mon billet, surtout que ce service de flexibilité est facturé plus cher qu'un billet ECO standard. Je décide de ne pas payer le supplément et donc de rester sur le vol initial.
Je patiente donc encore une bonne heure en attendant mon vol dans le lounge.
Après une collation et quelques photos, je remonte dans la zone d'embarquement du satellite.
La nuit est tombée : je ne m'en étais même pas aperçu dans ma grotte Lufthansa.
J'y découvre le B737-300 de Lufthansa immatriculé D-ABIP, prêt pour l'embarquement.

Un dernier coup d'oeil au Terminal T1 aux couleurs du drapeau français depuis les attaques terroristes de Paris au mois de novembre 2015. Un habillage lumineux plutôt réussi qui rehausse l'austérité de béton du terminal 1.

Et embarquement à bord du B737-300 de Lufthansa

Accès à mon siège et découverte de la cabine de l'appareil, un B737 qui a apparemment pas mal d'heures de vol…

Je suis situé à une issue de secours : le fauteuil devant moi a été retiré, me laissant de la place pour étendre mes jambes

J'en profite pour jeter un coup d'oeil à l'aspect général de la cabine.
Cela fait longtemps que je n'avais pas pris d'anciens modèles de B737-300. Je suis plutôt habitué aux A318, 319 et 320 d'Air France et aux B737 de Virgin Australia.
La cabine de cet appareil de la Lufhtansa est vieux : les plastiques sont usés, ternis ou jaunis. Cela donne un aspect fatigué, démodé et retro à l'intérieur de la cabine. Le siège est en modèle extra-slim pour gagner de la place, mais c'est au prix d'une absence totale de rembourrage. Ca passe pour 1 heure de vol, mais plus…, l'assise est trop dure et est inconfortable.

Le décollage approche, je regarde un appareil de SAS (Scandinavian Airline System) en parking juste à côté

Après un roulage, nous décollons…

Après le décollage, j'en profite pour quelques photos en mode éclairage tamisé de la cabine

Puis au bout d'une vingtaine de minute, l'équipage PNC effectue le service des boissons et d'un snack.
Il se compose d'un sandwich unique pour tout le monde. Heureusement que j'avais pu manger au lounge car ce malheureux sandwich triangulaire ne m'aurait pas suffi pour le vol jsuqu'à Francfort et mon arrivée à l'hotel vers 21h30.

Le sandwich avalé, il est temps de préparer la descente vers Francfort

Arrivée à l'aéroport de Francfort et direction le terminal Lufthansa

Débarquement puis entrée dans le terminal aux couleurs de la compagnie

Passage devant les carrousels bagages totalement vides (le vol est essentiellement composé de passagers n'ayant qu'un bagage à main) avant de quitter l'aéroport.